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In Flames + Soilwork + Pain

Live report

In Flames + Soilwork + Pain Le 15 Octobre 2002 à Bordeaux, France (Koslow)
Dire que j’attendais ce concert avec énormément d’impatience, tient de l’euphémisme. J’allais enfin voir mon groupe culte sur scène, et pour rien au monde je n’aurais raté ça ! C’est vers 20h15 que j’arrive devant la salle du Koslow, et stupéfaction, il y a du monde ! Paraîtrai que l’on était pas loin de 850 ce soir là, autant vous dire que la petite salle du Koslow a rarement vu autant de monde ! Dans la foule qui patiente devant l’entrée il y a de tout, des bon vieux fan de metal au cheveux long, des néo-metalleux, et même des vieux « papi-heavy-metalleux » qui vienne faire un bon concert comme au bon vieux temps ! lol

C’est sur le coup de 21h30, que l’on rentre enfin dans la salle, et aux alentours de 21 H, Pain débute son set. Pain, c’est de l’electro-métal dont la particularité est d’avoir Peter Tägtgren (en plus de deux membres d’Immortal). J’avais vraiment beaucoup apprécié le dernier album de Pain – Nothing Remains the Same. J’avais aussi bien adoré le dernier album d’Hypocrisy, mais pourtant ce soir, la sauce ne prends pas. Pain débute sous les acclamations du public. Mais au bout de 30 secondes de concert, c’est fini, tout le monde a les bras croisés, en attendant que Peter ait fini de faire mumuse. Certes, la fosse est animé de quelques irréductibles, mais majoritairement, l’accueil du public est plus que mitigé ! Tagtgren, qui semblait heureux de l’accueil du public au début, se rends compte que ça ne prends pas, et bien sur ça l’agace un peu. Sinon, le son était correct, mais sans plus, la batterie façon beat de techno bousillait un peu les tympans. On a eu le droit a pas mal de titres d’anciens album mais aussi quelques titre du nouvel album, dont Close My Eyes et Juste Hate Me. C’est avec un certain soulagement que Pain quitte la scène, sans avoir fait de rappel.

Déjà les roadies envahissent la scène, pour faire les balances des instrument de Soilwork. Les choses sérieuses vont pouvoir enfin commencer ! Le thème d’Indiana Jones retentit, et c’est sous un tonnerre d’acclamations que Soilwork ouvre enfin les hostilités ! Et c’est parti, on commence avec un Follow The Hollow suivi d’un As We Speak. Un gros pogo s’organise auquel je prends part timidement (je ne suis pas vraiment friands de ces joyeusetés !). Je n’ai pas en tête le setlist exact, mais je peux vous dire qu’on a eu le droit à entre autres Natural Born Chaos et Millionflame. Le groupe ne bouge pas trop sur scène, mais pourtant on ressent une certaine pêche ! C’est carré, ça joue vite, en bref c’est aussi excellent que sur les albums. Le son Soilwork, a mi-chemin entre un Pantera, et un In Flames est parfaitement retranscrit. Le chanteur du groupe nous gratifieras même d’un « I know some french words, SUCE MOI SALOPE ! », quelle finesse ces suédois ! Après 45 minutes de concerts, Soilwork quitte à son tour la scène, non sans remercier le public qui a cette fois super bien réagis et super bien participé ! En tout cas, les membres de groupe semblait très satisfait de la réaction du public à leur égard. Le public, commence à rappeler le groupe, mais en vain, les roadies arrivent et commencent à démonter la batterie. Pas de rappel pour Soilwork, dommage…

Deuxième et dernière pause de la soirée, je peux tranquillement regarder les roadies installer l’hugissime drum-kit de In Flames, et faire les balances. Certains dans le public vont même jusqu'à photographié les amplis afin d’avoir les réglages du son In Flames. C’est sur le coup de 11H30, que In Flames investit la scène, pour ne l’abandonner que 90 minutes plus tard. Nos cinqs héros tout de blanc vétus arrivent un à un, alors qu’en fond musicale, on peut entendre le thème de Austin Powers ! Anders, arrive le dernier, et Ô surprise, il a des dreadlocks, ça fait bizarre ! Et c’est parti, pour un System extraordinaire. La fosse n’est plus que Pogos et headbangs ! Moi je suis tranquillement placé sur le coté gauche de la scène au premier rang. Je reste prudemment à l’écart du pogospour pouvoir savourer entièrement ce moment de pur bonheur ! La disposition de la salle fait que les musiciens jouent à seulement quelques centimètres de nous, c’est réellement impressionnant !

La setlist du concert est la suivante : System, Pinball Map, Episode 666, Bullet Ride, Embody the Invisible, Cloud Connected, Clayman, Foot for the God, Artifact of a Black Rain, Reroute to Remain, Trigger, Drifter, Square Nothing, Gyroscope, Only for the Weak, Behind Space, Ordinary Stories, Black and White et C.O.L.O.N.Y. Pour moi, les moments forts auront été, Embody The Invisible (car c’est ma chanson preférée), Reroute to Remain, Trigger, Drifter; Only for the Weak et C.O.L.O.N.Y, ou j’ai definitivement perdu toutres traces des mes cervicales reduites à néant dans des headbangs furieux !

Au début, on a pu remarqué qu’Anders faisait un peu la gueule, peut être était il moyennement satisfait de jouer dans une si petite salle, mais au bout de quelques chansons on retrouve un Anders souriant qui s’amuse avec son public. De manière général tout les membres du groupes, sont super sympa, ils nous sourient, s’amusent avec nous, posent quand on les prends en photos (je pense notamment à Peter et à Björn…). Toutes le deux chansons, Anders s’arrêtait pour nous parler, ou bien pour nous vider des bouteilles d’eau dessus. Vraiment super sympa je vous dis ! Musicalement, c’est carré, ça approche la perfection. Ils ont réussis l’exploit de retranscrire l’ambiance de l’album Reroute To Remain. Sinon, la sécu a été super cool. Ils étaient deux, et passé le plus clair de leur temps à hocher gentiment de la tête, lorsqu’il ne rattrapait pas slammeurs.
C’est avec un C.O.L.O.NY triomphal que In Flames achèvent son show. Le groupe remercia longuement le super public bordelais, on verra même Anders joindre les mains en signe de prière comme pour nous adresser un ultime remerciement ! Pas besoin de rappel, on a eu notre claque pour la soirée. Et tranquillement le Koslow se vide, tandis que je m’arrête au stand pour m’offrir deux superbes tee shirt de In Flames (et oui, que vous voulez vous, on ne se refait pas !). Et bien, c’est ainsi que s’achève cette longue review. Pour moi, c’est clair, ce concert aura été le meilleur concert de l’année 2002, à des années lumières des grosses machines que sont KoRn, mais au combien plus convivial et plus sympathique ! En tout cas, cette soirée n’est pas prêt de me donner envie de mettre fin à mon culte envers In Flames. Vive la Suède ! :)

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Death mélodique moderne - 1996 - Suède
  

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