Withdrawn nouveau fer de lance de la scène brutal death française? Peut-être pas encore mais vu le potentiel exprimé sur son 1er full-length "Skulls Of The Weak", il est sûr que la formation bordelaise va pouvoir se créer une place de choix aux côtés des Kronos et autres Benighted. Et comme chez Thrashocore on est toujours dans les bons coups, on est allé débusquer les frères Helwin, les deux cerveaux de la bête girondine, pour tout savoir sur une des révélations de l'année.Salut les gars, bienvenue sur Thrashocore, le webzine qui vaut de l'or ! Comment ça va ? Je sais que c'est chiant mais faut bien en passer par là : vous pouvez présenter brièvement Withdrawn (parcours, discographie, line-up, groupe sanguin, slip ou caleçon…) ?
Chris : Salut Keyser ! WITHDRAWN est né des cendres de Dawn Chaos, premier groupe que nous avions formé mon frère et moi et qui a splitté en 2002. Détail important, Julien était guitariste dans cette première formation et il a pris le poste de batteur en 2004 au moment où nous avons trouvé notre premier guitariste pour former WITHDRAWN. En 2005 nous avons sorti une démo nommée « This is not therapy » axé death black mélodique speed, puis « Tear V.2.0. » en 2006 avec quelques teintes nettement plus death brutal déjà. L'album « Skulls of the Weak » est sorti le 4 Avril dernier chez Another Sphere Records, il comprend 8 titres pour une durée d'un peu plus de 38 minutes. Le line up est le suivant : Julien à la batterie et à la guitare en studio, Jamyz guitariste de session live et moi-même Chris au poste de bassiste-chanteur.
Withdrawn est donc composé de deux frères. Si j'ai bien compris, Julien s'occupe de la batterie et de la guitare et Chris de la basse et du chant. Comment se passent les relations entre-vous ? Vous avez toujours eu cette passion du death metal ? L'un des deux a-t-il engrainé l'autre ? Bref on veut tout savoir sur les frères Helwin !
Chris : Les relations se passent plutôt bien entre nous même s'il y a régulièrement des prises de bec sur l'évolution du groupe ou les arrangements ou sur la décision de garder tel ou tel riff. Personnellement je suis tombé dans le métal avec Fear Factory en 1998 et dans le death métal avec In Flames en 2000.
Jul : On s'entend plutôt bien mais il y a souvent des prises de tête, ce qui contribue au final à faire avancer le groupe. J' ai découvert le métal quand j' avais environ 10 ans en écoutant une compil de death sur laquelle figuraient des groupes comme Dismember et Cannibal corpse. Nous avons commencé la musique en même temps, mon frère à la basse et moi a la guitare.
D'ailleurs je me demandais, une question bête mais il va y en avoir plein alors faut vous habituer dès maintenant. C'est votre vrai nom Helwin ? Non mais parce que si c'est le cas, vous étiez carrément destinés à jouer du death haha ! (Helwin => Hell wins au cas où il n'y ait que moi qui me comprenne).
Chris : C'est bien notre vrai nom Helwin. Et on a déjà eu un chroniqueur qui faisait mention de notre nom tout trouvé pour du death. Un ami nous avait même encouragé à changer le nom du groupe en Hell Wins.
Jul : Oui, c'est bien notre vrai nom, typiquement polonais…pour faire du death c'est l'idéal .
Actuellement, la Pologne n'est elle pas reconnue pour sa scéne death métal des plus brutales avec des groupes comme Vader, Behemoth, Hate…Notre but est simple, rejoindre les rangs de ces groupes.
Mes camarades de Thrasho vous le diront, je suis très tatillon sur tout ce qui touche au death metal, notamment la définition du style. Quelle est votre conception du death metal ? Attention à vos réponses je peux tout à fait refaire ma chronique haha !
Chris : Les groupes death jouent désaccordés, en haut du manche, avec voix de boucher et ambiance glauque : conception plutôt old-school diront certains mais si je dois résumer le death à un néophyte je le résumerai comme cela. Cependant comme j'apprécie aussi le black métal tout comme la pop, le rock, l'électro, lorsque j'écris des morceaux j'apporte quelques touches plus personnelles. Le death que je crée est gras mais aéré et efficace car il a un côté catchy qu'on retrouve dans la pop par exemple. On pourrait presque parler de pop death à notre égard.
Jul : Il faut que l'auditeur prenne une bonne tarte dans la gueule et qu' il en redemande tout simplement !
Votre premier album Skulls Of The Weak est sorti il n'y a pas très longtemps. Alors, heureux ?
Chris : L'aboutissement de plusieurs années de travail et d'acharnement, sur les routes comme en répétition. Nous avons attendu d'être assez matures pour sortir un premier album efficace et à la production satisfaisante.
Jul : De nombreuses années à composer et à bosser la guitare et la batterie. J'en ai chié mais il est enfin là !
Les chroniques commencent à fleurir sur le net et dans les magazines. Comment sont les retours pour l'instant ? En tout cas, vous avez récolté un très prometteur 8/10 sur Thrasho, par moi-même en plus, expert en death metal depuis 1856. J'en profite donc pour vous faire un peu de lèche et vous féliciter pour le travail accompli.
Chris : Merci bien mec ! Les retours sont du même ordre que ta chronique : tous bons. Quelques uns s'avèrent plus pointilleux quant à un petit manque d'originalité mais on fédère tout le monde sur le plan de la puissance et du son. Les notes sont très bonnes et les retours plus qu'encourageants. La comparaison avec Behemoth se fait dans la bouche de chacun et on a le plaisir de lire des commentaires du genre « Kronos n'est plus tout seul », « Benighted a un petit frère ». Ce qu'il est intéressant de voir c'est qu'il y a quelques années quand nous nous présentions comme un groupe voulant développer la même énergie que Behemoth, certains nous voyait encore loin de cet aboutissement. Aujourd'hui, les gens font d'eux même le rapprochement entre nous et le groupe polonais sans que nous leur en donnions l'idée. Ce qui faisait sourire il y a quelques années et aujourd'hui crédible.
Jul : Heureux de voir que tout le monde ait apprécié cet album, nous espérons faire encore mieux bien entendu pour le prochain. Encore merci à toi et aux autres pour le soutien. Il est vrai qu'un certain manque d' originalité a été souligné, mais la comparaison avec des pointures comme Behemoth ou Kronos nous a fait énormément plaisir.
Dans ma chronique, j'évoque quelques unes de vos influences. Le death metal polonais (voire US) notamment pour le côté rapide, brutal et parfois evil, ainsi que plus spécifiquement Kataklysm pour ce mélange de brutalité et de mélodie ainsi que le contraste vocal growls/cris. D'accord ou pas d'accord ?
Chris : Nous avons un côté Behemoth, c'est indéniable, pour la rapidité, la puissance et le côté catchy. On n'écoute par contre presque pas Kataklysm mais du peu que j'ai entendu il ne me paraît pas déplacer de nous rapprocher d'eux pour le mélange mélodie et brutalité. Mais nous nous rapprochons plus d'un Behemoth malgré les mélodies.
Jul : Kataklysm n'est pas un groupe que j'écoute beaucoup mais il se peut que nous ayons des similitudes .Il en est de même pour Behemoth. J'espère juste que pour le prochain ces influences seront mieux digérées.
Le son de l'opus est monstrueux, vous devez en être super fiers. Vous avez enregistré où et avec qui pour dégager une telle puissance ?
Chris : Les prises batterie ont été faites à l'Echoes Studio avec Raphaël Henry dans une vieille maison abandonnée où seule une salle isolée est encore en état et pas trop mal isolée. Tout le reste a été enregistré par David Potvin (One Way Mirror, Lyzanxia) au Dome Studio à Avrillé. C'est également David qui s'est chargé du mix et du mastering et le son est au final vraiment très bon. Ils nous ont apporté de bonnes suggestions quant à certains de nos plans et à nos façons de faire sonner les choses. Nous avons énormèment appris en l'espace d'une dizaine de jours. Il nous aurait fallu peut-être 2 ans pour acquérir les connaissances que nous avons eu là bas en seulement 10 jours.
Jul : Je suis très satisfait du son dans son ensemble, Raph et David ont fait un travail extraordinaire.
Pour le prochain je souhaite que la production soit tout aussi monstrueuse mais plus organique.
Je suis absolument prêt à recollaborer avec eux, ils ont mon entière confiance !
Avec cette production en béton armé en tout cas, les blast-beats détruisent tout sur leur passage, ça fait vraiment très mal. Hein que c'est bon les blasts ?
Jul : A la base il y avait le blast, puis vinrent les Hommes. Non plus sérieusement je travaille encore d'arrache pieds, les progrès se font sentir tous les jours. Dorénavant je mets l'accent sur la double et j'essaie d'étoffer progressivement mon jeu.
Le seul vrai reproche qu'on pourrait vous faire c'est que votre musique manque encore de personnalité et d'originalité, d'une vraie patte Withdrawn quoi. Personnellement je trouve que ce n'est pas un très gros problème dans le death metal vu que je préfère le classicisme aux expérimentations branlantes (pour ça, il y a le porno)…
Chris : Certains morceaux ont 5 ans d'âge maintenant. D'autres datent preque d'hier. Le style de composition d'un titre à l'autre a certainement quelque peu évolué sans que nous nous en rendions compte. Ce qui est sûr c'est que nous ne tenions pas à développer une personnalité particulière dans un premier temps, nous voulions seulement jouer ce qui nous plaisait et que nous n'avions pas pu jouer pendant des années suite à un manque cruel de blasteurs en Gironde, c'est-à-dire, du rapide et du blast. Aujourd'hui, nous cherchons un peu plus à sonner personnel même si je t'avoue que ces histoires d'originalité ne sont selon moi que des problèmes que se posent les métalleux français. Dans les autres pays, tant que tu envoies du lourd, qu'importe si ça sonne comme du déjà fait, ça défonce et c'est tout ce qui compte. Du coup, on a des groupes français, certes assez originaux, mais qui n'ont presque plus rien de métal ou d'accrocheur. Selon moi, à force de vouloir faire original on en devient juste chiant, tout comme cela peut être chiant pour certains d'écouter un groupe qui fait la même musique que tant d'autres : tout est question de point de vue.
Jul : On ne pourra jamais plaire à tout le monde et il y aura toujours des détracteurs. Je préfère écouter un Dismember ou un Cannibal corpse qui font certes la même musique depuis vingt ans mais qui la font bien plutôt qu'un quelconque groupe qui se dit original parce qu'il mélange le plus d' influences possibles pour sombrer au final dans la catégorie des groupes ennuyeux à mourir.
J'aimerais en apprendre un peu plus sur les thèmes abordés dans le groupe. Déjà pourquoi Withdrawn ? Et pourquoi Skulls Of The Weak ? De quoi traitent vos paroles ?
Chris : Le nom WITHDRAWN vient de l'époque où nous cherchions sans succès des musiciens. Personne n'avait le niveau, ou l'état d'esprit et nous étions isolés avec notre seule envie de faire du métal puissant. Il faut se souvenir que lorsque nous avons commencé à monter ce groupe, nous étions mon frère et moi des musiciens totalement inconnus de la scène bordelaise et à cette époque le néo métal hxc était roi. WITHDRAWN signifie « replié sur soi » et symbolise notre volonté d'aller de l'avant qui est toujours seule face au reste du monde.
« Skulls of the Weak » traite du Surhomme et de la volonté nécessaire pour accomplir ses rêves et faire ce que bon nous semble. Celui qui acquiert la force nécessaire se dresse automatiquement au-dessus des autres et rit de voir les difficultés qu'ils rencontrent et qu'ils ne veulent pas dépasser. Si vous voulez faire quelque chose de votre vie, donnez vous en les moyens au lieu d'attendre que tout vienne à vous comme par magie.
C'était dur de trouver un label pour la sortie de ce 1er full-length ? Comment vous êtes vous retrouvés sur Another Sphere Records, un jeune et dynamique label lyonnais ? Ca se passe bien avec eux ?
Chris : Nous étions en contact avec Théo d'Another Sphere depuis que nous avions fait la pré-production du titre « Gemini Distance » en décembre 2007. En tant que jeune groupe qui joue une musique pas spécialement à la mode, car pas death technique, ni death core à chant clair, ça n'a pas été simple mais nous avons eu des contacts avec des responsables de divers labels qui ont reconnu la qualité de l'album. Finalement, nous avons signé avec Another Sphere qui se bouge bien et qui apprécie beaucoup la musique de Withdrawn, ce qui est un énorme avantage. Tout se passe bien pour l'instant.
Jul : Nous avons signé sur Another sphere car c'est un label qui nous apprécie avant tout pour notre musique. Certains étaient prêt à nous signer mais nous étions pieds et poings liés pour la suite, au programme : changer de nom, de style, d'image bref être un putain de groupe formaté !
Une tournée dans toute la France pour promouvoir l'album est-elle prévue, avec pourquoi pas un passage dans la capitale ? Vous avez eu des propositions de festivals français ou étrangers pour cet été ?
Chris : Nous avons beaucoup planché sur une tournée dans l'Est et le Nord de la France dans un premier temps mais nous nous sommes heurtés à un problème de taille : le manque flagrant d'argent et de moyens dans la scène française. De nombreux bars n'offrent strictement rien aux groupes qui viennent jouer, ni nourriture, ni boisson, ni cachet, et de nombreuses assos qui étaient motivées pour nous faire jouer ont dû annuler les dates posées. Néanmoins, nous avons quelques plans de secours pour quelques dates et tournées. Concernant les festivals, l'album est sorti trop tard pour que nous puissions les démarcher, néanmoins, pour l'été prochain ça sera possible. Le 26 septembre prochain nous participerons au Howling Zone Fest 2 à Toulouse.
Jul : Les dates pour la tournée ont été très dures à mettre en place, et la sortie tardive de l'album ne nous a pas permis de démarcher pour les festivals assez tôt, mais l' année prochaine nous serons au rendez- vous plus remontés que jamais .
La scène metal en France est en pleine ébullition depuis plusieurs années mais niveau death, on a plutôt affaire à des machins modernes sans réel rapport avec du vrai DM. Cette année au contraire, on assiste à pas mal de bonnes sorties. Spiritual Dissection, Eternal, An[om]aly, The Seven Gates, Gorod (même si beaucoup plus mélodico-technique) et bien sûr Withdrawn viennent s'ajouter à Kronos et Drowning qui devaient se sentir un peu seul jusqu'ici. Psychobolia est sympa aussi. Qu'en pensez-vous ?
Chris : Je ne connais certains des groupes que tu as cités que de noms et j'ai dû écouter 1 titre ou 2 de certains autres donc je n'ai pas trop d'avis sur la question. Je sais juste qu'il y a de plus en plus de groupes de death en France, j'espère juste que cet intérêt pour le death durera un moment, et qu'il ne sera pas semi-balayé par une nouvelle vague de type néo métal like. En death j'ai plutôt écouté le dernier In Flames et le dernier Suffocation, pas spécialement de trucs français.
Jul : Il y a une recrudescence de la scéne death métal en France qui, je l'espère, ne sera pas balayée par la vague émo core qui nous vient tout droit d'Amérique. Ce qui est sûr c'est que nous serons toujours là et probablement avec un nouvel opus.
Vous venez de Bordeaux. Je n'ai pas l'impression que la scène metal extrême ou même metal tout court soit très développée par chez-vous. Les bastions de groupes, notamment extrêmes, sont plutôt situés en région parisienne ou dans le Nord de la France. Réalité ou simple impression de Parisien prétentieux ?
Chris : Otargos, Asmodée, Offending et Gorod sont les premiers noms en métal extrême qui me viennent à l'esprit… et quels noms ! Je crois que chacun d'entre eux peut se vanter de jouir d'une certaine popularité en France à l'heure actuelle.
Jul : Peu de groupes, mais les cités précèdemment ont une réputation qu'offrent peu de groupes français.
Continuons sur Bordeaux. Alors champion de Ligue 1 ou pas ? Je suis supporter bordelais depuis quelques semaines (haha), il faut à tout prix empêcher Marseille d'être sacré ! Ou alors vous vous en carrez du foot, comme la plupart des métalleux ?
Chris : J'adore pratiquer du sport, mais pas regarder ou supporter. J'ai fait 8 années de football en club et déjà à cette époque je ne comprenais pas comment on pouvait passer une partie de son temps à supporter une équipe de foot.
Jul : J'ai fait 10 ans de foot. Aujourd'hui je n'ai plus de temps à consacrer au foot sous quelque forme que ce soit. Je préfère me consacrer entièrement à la musique.
Qu'est-ce que vous écoutez de beau en ce moment, metal ou non ?
Chris : J'ai pas mal écouté Pj Harvey et j'ai découvert un groupe nommé White Lies il y a quelques jours à Barcelone ; sorte de pop rock new wave. En métal j'écoute un peu The Amenta, Celtic Frost et Annihilator en ce moment.
Jul : Le clic de cubase essentiellement, Behemoth, Origin, Vader, Dragonforce…
Attention séquence fétichiste, sortez les combis en latex :
Albums fétiches ?
Chris : « Heartwork » de Carcass, « Clayman » d'In Flames, « Covenant » de Morbid Angel, « Mindcrimes » de Lyzanxia.
Jul : « Thelema6 » de Behemoth, « Death metal » de Dismember, « Domination » de Morbid angel
« Death magnetic » de Metallica .
Livres fétiches ?
Chris : « Le comte de Monte-Cristo » d'Alexandre Dumas, « La Plaisanterie » de Milan Kundera.
Jul : Not enough time to read .
Films fétiches ?
Chris : « Tetsuo » de Shinya Tsukamoto, « Hana-Bi » de Takeshi Kitano, « Le Maître de Guerre » de Clint Eastwood, « House » dont j'ai oublié le nom du réalisateur.
Jul : Z movies !
Vos plans pour l'avenir ?
Chris : Tourner un maximum et participer à un maximum de festivals. Porter WITHDRAWN au même niveau de popularité qu'un Benighted dans un premier temps et puis après s'exporter dans le monde entier à la manière d'un Gojira.
Jul : Blaster à travers la France et le monde !
Question philosophique maintenant, histoire de montrer que les métalleux savent aussi réfléchir. Crise financière, récession mondiale, grippe porcine, réchauffement climatique, grèves, extrémisme religieux, téléréalité, jambon sans couenne : le monde semble courir à sa perte. Vous croyez qu'on va s'en sortir quand même ?
Chris : Cela fait 2 ou 3 ans que je suis convaincu que la France va devenir un pays pauvre très prochainement. Mais comme je n'ai pas de besoin particulier qui dépendrait de la société de consommation et que je vis simplement ma vie n'a pas vraiment changé depuis le début de la crise. Je suis plutôt tourné vers la richesse intérieure et la vie simple donc cette crise ne me touche pas particulièrement de plein fouet.
Jul : Seuls les gens qui n'ont pas de passion ou qui n'ont pas envie de travailler sont victime de la crise. Il me faudrait des journées de 28 heures pour pouvoir bosser mes instruments encore plus.
Sinon toutes les merdes que l'on nous sert à la télé ou la radio ne m'affectent en rien .
Bon j'arrête de vous embêter, merci beaucoup pour vos réponses (et la Jaguar aussi mais ça reste entre nous hein ?). Un dernier petit mot pour nos millions de lecteurs ou un message à faire passer, une dédicace à votre maman ou je ne sais quoi, allez-y c'est maintenant, faudra pas réclamer plus tard !
Chris : Merci pour ton temps et ton soutien et pour cette interview ! C'est avec de telles initiatives que le nom de WITHDRAWN réussit à circuler et que nous pouvons promouvoir l'album. Que ceux qui seraient rebutés par nos quelques mélodies viennent nous voir en concert pour se prendre une bonne décharge d'énergie positive en pleine tête. Et n'oubliez pas de consulter notre
MySpace pour avoir toutes les infos relatives au groupe.
Jul : Merci pour cette interview et à bientôt sur scène.
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