Sépulcre pour la démo "Ascent Through Morbid Transcendence"
Interview
Sépulcre pour la démo "Ascent Through Morbid Transcendence" Entretien avec K. Desecrator (Chant, guitare) et Jon Whiplash (Batterie) (2021)
# Bon, avant toute chose, comment allez-vous après ces longs mois de confinements particulièrement pénibles ? Je me doute que comme tout le monde ça fait du bien d’en voir le bout et d’imaginer la reprise des concerts dans un futur relativement proche... D’ailleurs, certains d’entre vous sont déjà remontés sur les planches non ?
K. Desecrator : Salut Greg! À l’heure où j’écris ces lignes, nous avons fait notre premier concert avec Sépulcre. C’était un évènement privé, dans un super cadre, on pouvait pas rêver mieux pour un premier concert. On a vraiment pris notre pied, les gens présents aussi, on a eu de bons retours, c’est super motivant et encourageant. Concernant le futur des concerts, je t’avoue que je ne suis pas super optimiste, entre la crise du Covid qui est loin d’être terminée et les justiciers d’internet derrière leurs écrans qui essaient par n’importe quels moyen de faire régner leur pensée unique, le futur des concerts Metal fait pas rêver. On verra bien ce que l’avenir nous réserve, si il faut plus compter que sur des évènements privés comme celui auquel nous avons participé, qu’il en soit ainsi.
# Je suis désolé mais vous n’y couperez pas, pourriez-vous s’il vous plaît revenir sur la genèse de Sépulcre qui a priori remonte aux derniers moments de Demonic Oath (un ancien groupe de Kevin). Comment s’est passé votre rencontre et qu’est-ce qui vous a motivé à vous lancer dans une nouvelle aventure ensemble ?
K. Desecrator : Pendant la nuit pleine d’excès du nouvel an 2020, on a évoqué l’éventualité de faire de la musique ensemble avec Jon. Comme j'avais quelques chansons que je voulais utiliser pour mon projet solo Demonic Oath, j'ai pensé que ça pourrait être génial d'essayer d'en faire un vrai groupe. Jon et moi nous nous connaissons depuis plus de dix ans et avons partagé la scène d'innombrables fois avec nos différents groupes au fil des années et maintenant que lui et Hélène ont déménagés en Bretagne, le timing était parfait pour essayer de faire quelque chose ensemble et ça a fonctionné immédiatement.
# Si cette aventure a débuté sous la forme d’un trio, il semblerait que le groupe soit désormais un quatuor avec l’arrivée à la basse de Romain de Cadaveric Fumes dans les rangs de la formation. Qu’est-ce qui a motivé cette embauche, gagner en souplesse une fois en studio, pouvoir assurer au mieux vos futures dates de concert ou bien les deux ?
K. Desecrator : Dès le début nous voulions être un groupe au complet, donc il nous fallait un bassiste. Romain était celui que nous voulions mais ce n’était pas le bon moment pour lui au début du groupe. Nous avons donc continué à bosser en trio quelques mois jusqu’à attendre le bon moment pour lui redemander. Romain est un bon ami, un passionné de Death Metal, quelqu’un qui bosse sérieusement et qui a la sensibilité artistique qu’il faut pour avoir toujours un avis pertinent que ce soit sur les visuels, les paroles ou les arrangements donc il n’y avait aucun doute quant à son intégration dans le groupe.
# Votre première démo intitulée Ascent Through Morbid Transcendence est parue en novembre 2020 sous la bannière du label irlandais Invictus Productions. Comment s’est goupillée la rencontre avec Darragh ? Aviez-vous déjà démarché d’autres labels en parallèle ou bien la chose était-elle déjà entendue ?
K. Desecrator : Je connais Darragh depuis plus de 10 ans, je l’avais rencontré sur la tournée de que j’avais faite avec Trench Hell en 2010, j’avais squatté chez lui pendant quelques jours. C’est donc quelqu’un que j’apprécie humainement, en plus d’avoir un profond respect pour son label. Quand on a balancé le premier titre de la démo sur YouTube, on a eu pas mal de propositions, certaines plus intéressantes que d’autres et de mon côté j’avais démarché 3 ou 4 label avec qui j’aurai voulu travailler, Invictus en faisait partie. Darragh s’est tout de suite montré intéressé et a proposé de sortir la démo, c’est aussi simple que ça. Depuis, nous ne regrettons pas du tout le choix de bosser avec Invictus, au contraire. On sent que Darragh soutient vraiment le groupe et c’est vraiment le label parfait pour un groupe comme Sépulcre.
# Sortie dans un premier temps en cassette uniquement, celle-ci s’est vue offrir un pressage CD et vinyle il y a de cela quelques jours. Pourquoi un délai aussi long (plus de sept mois) entre ce premier pressage cassette et ces versions CD et LP que naturellement beaucoup attendaient ?
K. Desecrator : A vrai dire, à peine la démo sortie, Darragh a direct parlé de repress CD et LP et on s’est vite attelés à faire les différents layouts, etc... La seule raison de cette attente est surtout due aux délais dans les boîtes de pressage, qui sont de plus en plus longs, tous les labels sont dans le même panier en ce moment. D’ailleurs à l’heure où je t’écris, on a toujours pas reçu nos copies, y’a encore et toujours du retard.
# D’ailleurs, pouvez-vous nous parler un peu de ces différentes versions qui viennent de paraître ? Je pense notamment à cette édition phosphorescente limitée qui semble faire un petit peu gadget sur le papier mais qui en vrai a l’air ultra cool (d’ailleurs celle-ci est d’ores et déjà sold-out). Qui en a eu l’idée, vous ou le label ?
K. Desecrator : C’est Darragh qui nous a proposé. Pour ma part, je préfère toujours un bon vieux vinyle noir, je suis pas spécialement branché éditions limitées. Mais pour le coup, quand le label propose, pourquoi pas, et puis je peux comprendre qu’il fasse ça pour réussir un peu plus à vendre, étant donné que de nos jours les gens sont plus intéressés par le côté gadget que la musique. Ça s’est bien vérifié d’ailleurs avec cette sortie, t’agites un truc qui brille et tout le monde se jette dessus ahah.
# D’ailleurs, quel(s) rapport(s) entretenez-vous aujourd’hui avec le support physique ? Y êtes- vous toujours attachés ? À titre personnel, j’achète pas mal de disques et il m’arrive parfois de me dire, notamment avec la technologie actuelle et la manière d’écouter de la musique aujourd’hui, que c’est juste de l’argent sur des étagères. Partagez-vous ce paradoxe ?
K. Desecrator : Pour ma part, je ne suis pas un collectionneur mais j’aime toujours avoir du physique, que ce soit des cassettes, des CD ou des LP. Je comprends ton point de vue mais pour moi, même si les mp3, YouTube, Spotify, etc... Ça reste pratique, ça ne doit pas remplacer le support. Car un disque ce n’est pas seulement de la musique, c’est aussi un visuel, un livret, etc... Et regarder ça à travers un écran de smartphone n’aura jamais la même saveur. Et puis les supports traversent le temps, les époques, tandis que la musique dématérialisé ce n’est rien, c’est que du vent et l’art ça doit être tout sauf du vent. On peut faire le parallèle avec la photo par exemple, quand j’étais gosse mes parents faisait des albums et des dizaines d’années après on les regarde encore. Maintenant, si tu gardes tes photos sur ton PC, il suffit que ton disque dur crame et il te reste plus rien... Sincèrement, je trouve ça triste et le principe est le même avec la musique.
# Jon, corrige moi si je me trompe, c’est toi qui a dessiné le logo de Sépulcre et qui a également réalisé l’artwork de la démo. Concernant le logo que je trouve vraiment réussi, on peut y distinguer trois crânes. Étaient-ils censés représenter les trois individus derrière Sépulcre à sa création ou bien est-ce tout simplement une heureuse coïncidence ? Si j’ai vu juste, as-tu prévu du coup d’en rajouter un quatrième haha ?
Jon Whiplash : C’est visiblement ici que je fais mon entrée. En effet, j’ai réalisé le logo sur une base très organique, on voulait que ça suinte. J’aime assez ajouter des éléments plus artistiques sur mes logo, je trouve que ça apporte un gros impact visuel surtout en tant que bannière de fond de scène. J’ai tendance à aller vers la facilité et l’universalité des crânes humains mais Hélène, qui en me voyant bosser dessus, m’a suggéré de partir sur des crânes momifiés pour renforcer l’aspect organique du logo. Pour le nombre de crâne, sans être une coïncidence, ça m’arrangeait bien qu’on soit que 3 dans le groupe. J’aime bien l’asymétrie que représentent les chiffres impairs. Je n’ai donc pas prévu d’en rajouter un maintenant que nous sommes 4.
# Au sujet de l’artwork d’Ascent Through Morbid Transcendence, qu’avais-tu exactement en tête à ce moment là ? Personnellement, j’y vois évidemment un lien avec le titre de la démo, du moins c’est ce que m’évoque ce chemin qui grimpe et ce portail sur lequel sont gravés ce qui semble être des symboles alchimiques, est-ce que je me trompe ? Aviez vous abordé ce point ensemble auparavant ou bien as-tu mené seul ces deux projets avec la bénédiction de Hélène et Kevin ?
Jon Whiplash : On a surtout discuté de ce projet avec Kev. L’artwork représente évidemment un portail, on pourrait également y voir l’entrée d’un sépulcre, qui nous emmène dans un monde terrifiant, régi par une entité maléfique. Bien entendu, nous l'empruntons volontiers pour s’adonner à nos vices. J’ai proposé l’artwork à Kev et comme pour le logo, on s’est immédiatement entendu sur l’aspect visuel du groupe.
# Si je ne dis pas de bêtises, c’est également l’un de tes seuls artworks réalisé sans couleur (avec celui du premier album des Français de Destrukt). Pourquoi ce choix ? Il est aussi plus sobre dans la mesure où déjà celui-ci n’occupe pas tout l’espace mais également parce qu’il ne fourmille pas autant de détails que ceux que tu as pu réaliser par exemple pour Hexecutor ou Skelethal. J’imagine qu’il y a une intention derrière tout cela ?
Jon Whiplash : A vrai dire j’ai pas mal d’autres artworks N&B à mon actif mais plus orientés shirt design. Pour une démo, on voulait vraiment quelque chose d’assez simple, brut et central, qui n’occupe pas tout l’espace. A la base, ce n’était pas destiné au format carré des CD et LP d’où ces dimensions verticales et cette approche plus sobre qu’on retrouve également sur un shirt sérigraphié. On a en revanche profité des versions LP et CD pour ajouter une 2ème couleur et renforcer la sensation de passage dans une autre dimension.
# Lorsque j’écoute Ascent Through Morbid Transcendence, j’entends beaucoup de Verminous (ainsi que d’autres groupes allant d’Autopsy à Necrovation en passant par Demigod). Sauf qu’a priori ce n’était pas flagrant pour toi Kevin. Aviez-vous une idée bien précise de ce vers quoi vous vouliez tendre avec Sépulcre avant de vous lancer dans l’aventure ou pas du tout ?
K. Desecrator : Nous avons commencé par jouer 2 morceaux que j’avais dans mes archives (normalement pour Demonic Oath) mais on a fini par plus les jouer car ils sonnaient trop différents des morceaux qui ont suivis une fois qu’on a vraiment commencé à jouer sérieusement ensemble. J’ai toujours aimé le Death Metal qui mélange les passages ultra lourds, voire Doom, ambients avec d’autres passages ultra violents, chaotiques frôlant limite avec le War Metal des fois. Du coup je dirai que ça a toujours été mon idée dès le départ, réussir à mêler ces deux aspects comme il faut, et je pense que dans le futur, ce sera encore plus flagrant.
# Justement, Kevin et Romain, vous êtes également impliqués dans d’autres formations de Death Metal (Venefixion et Cadaveric Fumes). En quoi Sépulcre est-il différent selon vous ? Qu’amenez-vous ici que l’on ne retrouve pas dans vos autres projets ?
K. Desecrator : Pour ma part, je vois Venefixion et Sépulcre vraiment comme 2 entités différentes et je pense que les prochains morceaux des deux groupes respectifs vont les éloigner encore plus l’un de l’autre. De plus, Romain et moi occupons de postes différents dans les 2 groupes, la dynamique de groupe est clairement différente aussi.
# Comment se déroule justement le processus de composition au sein de Sépulcre ? Kevin, en multi-instrumentiste hyper-actif que tu es, es-tu du genre à cannibaliser cette tâche où bien laisses-tu le champs libre aux autres membres du groupe ? L’arrivée de Romain a-t-elle également "chamboulée" votre manière d’écrire ?
K. Desecrator : Généralement je compose tout, j’enregistre des maquettes que je soumets aux autres, on les bosse ensemble et si besoin on réarrange ce qu’il y a à réarranger. L’arrivée de Romain n’a pas changé cette manière de bosser, par contre, il apporte un avis pertinent en plus dans le groupe qui est non négligeable.
# D’ailleurs, vous en êtes où de la suite et de quoi s’agit-il exactement ? Est-ce que ce dernier confinement vous a permis de bien avancer sur celle-ci ?
K. Desecrator : Oui on a été très productif pendant ces périodes de creux. On va enregistrer un EP 4 titres avant la fin de l’année, après ça ce sera un album et l’écriture de celui-ci est déjà bien avancée.
# J’aime beaucoup la production sur la démo avec notamment ce grain de guitare à vous écorcher les tympans ainsi que cette dynamique de tous les instants. Comment s’est déroulé l’enregistrement ? Aviez-vous une idée bien précise du son que vous vouliez obtenir en matière de son ? Peut-on s’attendre à la même chose pour la suite où bien y a t’il certains aspects de cette production que vous voudriez voir disparaître ou bien corriger ?
K. Desecrator : Nous avons enregistré la batterie au Delta studio à Dinan, puis nous avons fait tout le reste nous-même dans notre salle de répèts et Jon s’est occupé du mix/master. Nous n’avions pas d’idée précise du son qu’on voulait avoir, à part qu’il fallait qu’on puisse percevoir tous les instruments, sans perdre le côté cru de la musique et je suis très satisfait du résultat, Jon a fait du très bon taf. Pour la suite, ça sonnera forcément un peu différemment, dans le sens oû on fera la majeure partie du taf dans un vrai studio et on demandera sûrement à une tierce de personne de s’occuper du mix. Je trouve qu’il faut toujours chercher à évoluer, faire mieux, expérimenter, plutôt que de se
cantonner à répéter la même recette, même si elle fonctionne. Cependant ne vous inquiétez pas, quand je dis que ça sonnera différemment, vous attendez pas à une prod plastique avec une batterie triggé de partout, ça restera quelque-chose de puissant et organique, c’est sûr.
# Avec Venefixion, vous mettez notamment en lumière un certain folklore breton ce qui ne semble pas être le cas avec Sépulcre. Quels sont alors les thèmes que vous avez choisi d’aborder ici ? Qu’est-ce qui influence vos paroles, des écris, des films, des oeuvres d’art, d’autres albums, etc ?
K. Desecrator : Petite parenthèse, concernant Venefixion, depuis le départ de notre précédent les thèmes des paroles ne sont plus du tout basé sur le folklore Breton. Finalement ça a été le cas seulement sur l’EP “Armorican Deathrites”. Les thèmes abordées dans Sépulcre sont la Mort, la Necromancie, le Blasphème… Ils vont puiser dans ce qui est enfoui, occulte, dans des conceptions qui nous dépasse en tant qu’êtres humains mais qui néanmoins nous attire et nous fascine.
# Vous avez réalisé deux vidéos "Live From The Attic" pour "Morbid Transcendence" et "Invocation Of Plague Ridden Entity" durant le deuxième confinement. J’imagine que la frustration de ne pas jouer les titres de votre démo en live y est pour beaucoup dans cette démarche, je me trompe ? Comment c’est passé le tournage exactement et qui s’en est chargé ? Avez-vous rencontré des difficultés particulières ?
K. Desecrator: Pour des raisons évidentes, nous ne pouvions pas jouer live, du coup avec ces videos on voulait montrer qu’on était un vrai groupe et non seulement un projet studio. Nous avons tourné dans notre local de répète, chez Jon et Hélène, dans nos conditions habituelles. On répète toujours dans l’obscurité, histoire de vraiment se mettre dans l’ambiance qu’il faut pour ressentir cette musique. On a filmé avec les moyens du bord, Jon s’est occupé du montage et on est plutôt satisfait du résultat.
# Est-ce que d’ailleurs vous avez regardé quelques live streams durant ces deux périodes de confinements ? Personnellement, même si j’en ai regardé deux ou trois (dont ceux de Hexecutor et Hangman’s Chair dernièrement), j’ai toujours un peu de mal à m’y résoudre et fini bien souvent par décrocher.
K. Desecrator : Pareil, j’ai regardé celui d’Hexecutor parce que c’était cool de voir un live d’eux filmé dans de bonnes conditions. J’avais aussi regardé un "live" de Taphos et d’Ascendency dans leur salle de répète, c’était sympa à regarder avec des bières un samedi soir, quand de toute façon y’avait rien d’autre à faire. Par contre, en aucun cas ça pourrait remplacer l’expérience réelle du live et surtout, jamais je n’irai payer un billet pour voir un "live" en streaming, ça rime absolument à rien.
# Bon et sinon, la fermeture définitive du Monde Bizarro vous vivez ça comment en tant qu’activistes de la scène rennaise ? Même pour moi qui n’habite plus la région depuis 2007 j’ai trouvé ça dur. Ça risque de compliquer un peu les choses pour les associations, les groupes et le public dans la région non ?
K. Desecrator : Sur le coup, j’ai trouvé ça très dur, je repensais à tous les moments là-bas en tant que groupe ou public, j’arrivais pas à me dire que c’était fini, j’étais très nostalgique. Et puis, je m’y suis fait , Covid ou non, ce serait sûrement arrivé à un moment donné, la vie continue.
# Plus globalement, la pandémie mondiale à eu un effet dévastateur sur les petits acteurs du spectacles. Pensez-vous qu’avez la reprise qui se profile, certaines choses sont amenées à changer autant du côté des acteurs que du public ? Avez-vous à titre personnel réévalué certaines choses à ce niveau ou pas spécialement ?
K. Desecrator : Si on veut que le Metal garde son côté indépendant et subversif je pense qu’il devrait prendre ses distances avec les réseaux sociaux et les structures officielles. Sinon, cette période de néant m’a fait réaliser que jouer en live m’a bien moins manqué que ce que j’aurai imaginé, du coup j’imagine que je serai plus sélectif au niveau des concerts.
# Enfin, pour conclure cette interview, pourriez-vous nous donner quelques nouvelles de vos divers projets ? Où en êtes vous avec Venefixion, Scumslaught, Cadaveric Fumes et Deströyer
666 ? À quoi peut-on s’attendre et quand ?
K. Desecrator : L’album de Venefixion sort le 1er octobre sur Iron Bonehead, avec Scumslaught on a un EP enregistré mais pas de label pour le moment, du coup je sais pas quand ça sortira. Cadaveric Fumes vont sortir un album avant la fin de l’année et avec Destroyer, l’album est enregistré , ça sortira en début d’année prochaine je pense. Comme tu le vois, on est assez occupés héhé.
# Voilà, j’en ai terminé avec mes questions. Merci d’avoir pris le temps d’y répondre Je vous laisse le mot de la fin pour conclure. À bientôt !
K. Desecrator : Merci à toi! Je vais conclure par une citation de Carl Jung “La clarté ne naît pas de ce qu'on imagine le clair, mais de ce qu'on prend conscience de l'obscur”.
| AxGxB 7 Octobre 2021 - 1209 lectures |
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