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Metal Méan Festival 2021

Live report

Metal Méan Festival 2021 Bütcher + Bölzer + Doodswens + Misþyrming + Sabathan + Sodom + Sulphur Aeon + Triumph of Death + Wiegedood
Le 21 Août 2021 à Méan, Belgique
Dix-huit mois presque tout pile que je n’avais pas assisté à un concert… Dix-huit mois sans écrire un report pour Thrashocore ! Autant dire une éternité. Inutile de revenir sur l’évènement planétaire qui nous a tous impactés, à plus ou moins grande échelle, de la petite tracasserie ubuesque au pire du pire, avec toutes les déclinaisons possibles entre les deux. Mais ça faisait bizarre, très bizarre même, de se projeter à nouveau dans les festivités. J’appréhendais presque ce retour devant une scène, au milieu d’une foule. Non pas que je craigne pour ma santé, mais je doutais de la possibilité d’un vrai retour à la normale, avec de nouveau des interactions entre êtres humains, les valeurs de partage et de communion étant au cœur d’un évènement tel qu’un festival, surtout dans un pays où la chaleur de l’accueil n’est plus à démontrer.

L’un des meilleurs « petits » festival de Metal extrême d’Europe devait tirer définitivement sa révérence en 2020. Ce fichu virus en a décidé autrement et l’orga avait dû se résoudre l’an dernier à repousser d’une année son ultime édition. Bravant les incertitudes, défiant le casse-tête des consignes sanitaires, tant à l’échelle locale qu’internationale, le Metal Méan Festival a finalement pu être maintenu en 2021, même s’il a perdu en cours de route les noms les plus alléchants – à mon sens - de son affiche initiale : URFAUST, BLOOD INCANTATION, IMPERIAL TRIUMPHANT, DEMOLITION HAMMER et KONVENT, ainsi que la plus belge des Américaines, HULDER, et les Allemands de NEKROVAULT dans la dernière ligne droite. Mais, à toute chose malheur est bon, puisque la der des ders, cette fois, c’est sûr, aura lieu en 2022 avec une 17ème édition, pour clore le chapitre MMF en apothéose, l’orga ayant décidé de jouer les prolongations pour offrir aux festivaliers la dernière affiche dont elle-même rêvait.

C’est la cinquième fois que je viens fouler les verts pâturages wallons : le clocher est toujours là, les vaches, comme d’habitude, assisteront impassibles au va-et-vient des festivaliers et resteront imperturbables face au déluge sonore du week-end. J’ai l’impression de revenir à la maison, et reprends moi aussi tranquillement mes petites habitudes : l’arrivée tard dans la soirée du vendredi – je n’ai jamais pu assister aux soirées des cover bands – l’installation sur le camping de nuit, autour duquel a été installée une palissade pour éviter les « visiteurs » intempestifs (avec plus ou moins de réussite), la petite bière avec les copains, après la vérification – masque sur le nez – du pass sanitaire et la pose bracelet. Je me couche tard dans la nuit, ce n’est pas très raisonnable car le corps est rouillé après ces mois d’abstinence auditive et la journée du lendemain sera longue ! Qu’importe, ce sera certainement la seule fois de l’année !

Ciel bleu parsemé de nuages et grand soleil pour démarrer les festivités, que demander de plus pour remettre le pied à l’étrier ? Aucun changement notable sur le site que je redécouvre assez tôt alors que les bénévoles s’activent encore : la même scène sous chapiteau, son unique bar, ses petits stands de bouffe et de merch. Petite pointe d’émotion, j’ai tellement de bons souvenirs ici, j’espère m’en créer de nouveaux cette année.

Deux jours avant la tenue du festival, les Allemands de NEKROVAULT, que je me faisais une joie de découvrir, ont été contraints d’annuler leur prestation et ont été remplacés par la jeune formation DOODSWENS, duo féminin en provenance des Pays-Bas, avec une seule démo et un split à son actif. Après des débuts poussifs et hésitants, un son qui tarde à être satisfaisant, leur set de Black Metal gagne progressivement en densité grâce à de délectables accélérations rythmiques et au chant fort bien maîtrisé de la front-woman qui a su se débarrasser peu à peu de son trac perceptible. Rien de révolutionnaire niveau riffing, bien qu’il soit plutôt plaisant, les passages lents/chant clair mettent en lumière quelques imperfections, c’est encore un peu tendre tout ça, mais n’est pas Dagon et Incubus qui veut ! Cependant, pour une entame de fest et en plein jour (jamais les meilleures conditions pour un set de Black) auquel elles ne devaient pas vraiment être préparées, elles s’en sont plus que bien sorties !




Arrivée triomphale et testostéronée de l’une des formations régionales de l’étape avec les Belges de BÜTCHER qui débarquent sur scène avec toute la panoplie du Black/Speed. Lumière rouge, souillures de sang dégoulinantes sur les corps et les vêtements : moule-burnes, cuirs, piques et cartouchières, of course ! Micro fiché au bout d’une croix inversée avec laquelle il s’adonnera sans cesse au air-guitar entre deux impeccables montées dans les aigus, R. Hellshrieker court de gauche à droite sur scène ou monte sur une estrade le poing levé pour haranguer son public de Speed Metal maniacs, acquis à sa cause dès la première minute. Faut dire qu’ils ont sorti l’artillerie lourde avec les morceaux de bravoure dont regorge 666 Goats Carry my Chariot (je vous renvoie à l’excellente chronique du camarade Keyser), et notamment son titre éponyme et quelques pièces piochées dans leur discographie plus ancienne (voire nouvelle ?). On pense évidemment à NIFELHEIM, MIDNIGHT ou encore VULTURE, mais les gars de BÜTCHER ont clairement démontré qu’ils avaient le potentiel pour rivaliser avec les plus grands noms du genre. Un pur show, survolté, mené tambour battant par de souriantes bêtes sauvages, au rythme de l’infatigable et génial batteur LV Speedhämmer, les manches (de guitares !) se lèvent, bravaches, le public est conquis, les acclamations fusent de tous côtés. Bien que ce ne soit pas le genre de barbaque dont je me nourris dans mes écoutes quotidiennes, je savais qu’une fois la tête sur le billot, j’aurais plaisir à me faire équarrir par des bouchers aux doigts experts ! Je frôle la rupture des zygomatiques en quittant le chapiteau. Rien que pour cette prestation de haute volée, ça valait le déplacement !

Setlist :
. 45 rpm Metal
. Iron Bitch
. Samurai
. 666 Goats Carry My Chariot
. Elektrik Exekutioner
. Thermonuklear Road Warrior
. Oath
. Metallström/Face the Bütcher
. Blakk Krusade





Passer après BÜTCHER relevait presque de la gageure pour SULPHUR AEON… D’habitude assez friande d’à peu près tout ce que le catalogue de Ván Records a à offrir, j’avoue ne jamais avoir accroché aux albums du quintet allemand et mon désamour se confirmera après cette prestation en demi-teinte. Alors, déjà, on oublie très vite les filets de pêche dont se sont affublés deux des musiciens, qui prêtaient plus à sourire qu’autre chose. J’essaie d’en faire abstraction, comme du manque d’alchimie entre le propos musical et l’attitude, entre les musiciens eux-mêmes, mais rien n’y fait. Attention, ça joue bien, ça joue même très bien, la maîtrise technique est clairement au rendez-vous, mais la copie est propre, trop propre et d’un ennui réel, à moins que ce ne soit ce mélange des genres qui ne prenne pas, on oscille entre le tech Death moderne et le Black grandiloquent dont la fusion aurait été mal maîtrisée. Les efforts certains mais laborieux du chanteur pour captiver son public ne seront guère plus récompensés. Enfin, la basse, bien trop puissante, était parfois difficilement supportable pour la cage thoracique.




HULDER ayant dû annuler sa présence, ce sont les Belges de WIEGEDOOD qui l’ont remplacée au pied levé. Il s’agit d’un retour, trois ans après une prestation plus que convaincante lors de l’édition de 2018 et typiquement le genre de groupes auxquels on adhère totalement ou pas du tout, encore faut-il être sensible à leur univers. Pour ma part, la magie opère toujours avec ce mélange de fureur et de désespoir. La frappe millimétrée et variée de Wim Sreppoc, véritable ossature des compositions du trio, se savoure sans modération, la disputant avec l’intensité des riffs de Gilles Demolder et Levy Seynaeve, qui arbore comme il y a trois ans le même t-shirt de REVENGE. L’immersion aurait été totale, même pendant les plages de silence fréquentes, si le brouhaha des discussions autour de moi n’avait pas parasité ma petite bulle et si le chant de Levy avait été parfaitement perceptible dès le début du set. J’ai beau fermer les yeux, l’effort de concentration pour profiter pleinement de la prestation entache un peu le plaisir. C’est un peu dommage, mais ils n’y sont clairement pour rien.




Lord Sabathan, figure de la scène Black belge, au demeurant fort sympathique, joue à domicile. Prestation quasi identique à celle délivrée à Bruxelles en mars 2019 lors du festival A Thousand Lost Civilizations à ceci près que, cette fois, la tente est pleine à craquer pour se délecter d’un pur set de Black Metal so old school avec les meilleurs titres de Prophecies of Pagan Fire et Towards the Skullthrone of Satan d’ENTHRONED sous la bannière de SABATHAN. Bougies, corpsepaint, gros piques et tignasses tourbillonnantes, une tornade démoniaque et sulfureuse s’engouffre sous le chapiteau. Lord Sabathan démontre une fois de plus qu’il est un vocaliste hors pair, un vrai maître de cérémonie diabolique, le visuel est spectaculaire avec ce front-man cracheur de feu et ces jeux de lumière très réussis. Le show semble parfaitement rôdé mais conserve toute son efficacité grâce à l’investissement sans faille et l’envie d’en découdre de l’ensemble des musiciens. Le public nombreux et les acclamations nourries (et méritées) rendent cette fois justice à SABATHAN qui, l’espace d’un instant de flottement, a cru pouvoir continuer à jouer encore un peu, ce qui ne sera malheureusement pas le cas.

Setlist :
. Intro (Prophecies of Pagan Fire)
. Deny the Holy Book of Lies
. Under The Holocaust
. Scared by Darkwinds
. Tales from a Blackened Horde
. The Antichrist Summon the Black Flame
. The Rites of the Northern Fullmoon
. At the Sound of the Millenium Black Bells
. Ha Shaitan
. Evil Church
. The Ultimate Hordes Fight





Il est temps pour moi d’aller casser la croûte, je file chercher de quoi tenir jusqu’à la fin de la journée alors que le ciel se plombe et devient de plus en plus menaçant. MISÞYRMING a déjà commencé son set lorsque la pluie se met à tomber, de plus en plus drue, je me trouve un petit coin tout au fond de la tente, vers la régie son et ne pourrai plus en bouger jusqu’à la fin de la soirée. Tout le monde s’est logiquement réfugié à l’abri, la circulation devient difficile et le sol se transforme rapidement en une pataugeoire de boue. Je peine à me remobiliser pour les Islandais, mais la qualité de la prestation, bouillonnante comme un geyser, servie par un son tout particulièrement massif et de qualité, va vite me détourner de mon repas. J’apprécie plus particulièrement les titres issus de Söngvar elds og óreiðu, pour lequel j’ai toujours une nette préférence par rapport à Algleymi qui sera malgré tout et logiquement mis à l’honneur. MISÞYRMING reste l’une des rares formations de Black Metal bon chic bon genre du pays de feu et de glace dont je ne me suis pas encore lassée, et qui, une fois de plus, ne me décevra pas avec un set d’une rare densité et empreint d’une tension nerveuse presque palpable. Finalement, la nuit qui tombe et le déluge qui s’abat sur Méan, ne pouvait pas mieux convenir à l’atmosphère oppressante qui se dégageait de leur set.

Setlist :
. Orgia
. Með svipur á lofti
. Ísland, steingelda krummaskuð
. Allt sem eitt sinn blómstraði
.Söngur heiftar
. Alsæla
. Ég byggði dyr í eyðimörkinni



Si un mot peut caractériser les prestations de la paire suisse de BÖLZER, c’est la constance. De la petite salle intimiste à l’open air devant des milliers de personnes, depuis 2014 que je croise leur chemin, c’est la même claque en pleine figure. Cette capacité à créer dès la première seconde cette atmosphère unique, happant l’auditoire pour ne le lâcher qu’à la dernière note m’a toujours bluffée. Le charisme naturel de KzR, l’homme qui ne fait qu’un avec sa guitare, s’impose toujours avec autant de facilité et cerise sur le gâteau, ses capacités vocales se sont améliorées au niveau du chant clair, qui a gagné en justesse. De quoi apprécier davantage les titres issus des (parfois) décriés Hero et Lese Majesty, mis à l’honneur ce soir, dont on avait injustement déploré les surprenantes orientations. Personnellement, j’y suis très sensible et je ne boude pas mon plaisir, même si la fatigue commence à peser, d’autant que l’ingé son a réalisé un remarquable travail derrière sa console pour rendre justice à la virtuosité du duo. Sur un couteau suisse, nul besoin d’avoir toute la panoplie, deux outils suffisent : l’un pour tire-bouchonner les oreilles, l’autre pour décapsuler l’esprit. BÖLZER a prouvé une nouvelle fois de plus ce soir que leur succès, parfois qualifié de hype passagère, est loin d’être un feu de paille, mais qu’ils sont bel et bien l’un des grands noms du Black/Death.


Après un passage en 2015 que j’avais totalement zappé, voici le retour inattendu, au gré des annulations de juillet, des vétérans teutons du Thrash. Leur statut culte se confirme par un temps de jeu à rallonge puisque SODOM aura 1h30 pour retourner le chapiteau plein comme une outre (de boue) et tout acquis à leur cause, à en juger par l’accueil triomphal qui leur est réservé. Je n’avais guère suivi leur carrière depuis…hum, longtemps et je découvre qu’ils sont quatre sur scène. Ah oui, j’ai loupé des trucs. Tom Angelripper, seul rescapé de la formation d’origine (40 ans de carrière tout de même, respect) est en pleine forme et a décidé d’offrir une longue set-list balayant la quasi-totalité de leur discographie, avec en point d’orgue, les meilleures pièces d’Agent Orange, pendant lesquels il sort les fumigènes de la même couleur et fort odorants. Je ne m’y attendais pas, mais j’adhère totalement à cette rétrospective, n’étant pas (ou plus) très fan de Thrash, et reprends à l’unisson « Agent Orange », « Remember the Fallen » ou encore la cover de MOTöRHEAD « Iron Fist ». Je regrette cependant qu’ils n’aient pas plus pioché dans leur dernier album Genesis XIX sorti en 2020, que j’avais trouvé excellent. Tout le monde se quitte sur l’hymne national allemand à la sauce Thrash. Un très bon moment, vraiment et pour le coup, une bonne surprise.

Setlist :
. Blind Superstition
. Sodom & Gomorrah
. Sodomized
. Christ Passion
. Suicidal Justice
. Nuclear Winter
. Agent Orange
. Conflagration
. Better Off Dead
. Caligula
. Tired and Red
. M-16
. Incest
. Iron Fist (Motörhead cover)
. Outbreak of Evil
. The Harpooneer
. The Conqueror
. Remember the Fallen
. Ausgebombt
. Blasphemer
. Bombenhagel



Le chapiteau se vide à moitié d’un seul coup…La fatigue, la pluie et la boue ont eu raison d’une bonne partie du public. Ça me fait un petit peu mal au cœur pour Tom G. Warrior qui avouera son émotion de se retrouver sur scène après cette sale période. Et puis, bon, TRIUMPH OF DEATH, c’est quand même la résurrection du plus culte des cultes (sans n’avoir jamais sorti de long format) de l’éphémère groupe de Speed/Black Thrash HELLHAMMER par le biais d’un tribute band. Tom G. Warrior rendra hommage à Martin E. Ain disparu en 2017 lorsqu’il annoncera « Messiah », leur premier morceau écrit ensemble. Ça me fait encore plus mal de le dire, mais je me suis gentiment ennuyée pendant ce set. Non pas qu’il ait été mauvais, loin de là, solennité et master class étaient au programme et j’ai trop de respect pour les personnes sur scène et mesure l’influence qu’a eue HELLHAMMER depuis 40 ans au sein de la scène extrême, mais j’ai trouvé le rendu beaucoup trop propre, trop lisse, loin des atmosphères sombres et délétères que peuvent dégager les écoutes des démos des années 1980. Ces titres légendaires semblaient avoir été débarbouillés au savon noir de leurs relents infernaux...Cette journée s’achève donc sur une relative déception.

Setlist :
. The Third of the Storms (Evoked Damnation)
. Massacra
. Maniac Blood
. Insanity
. Decapitator
. Crucifixion
. Reaper
. Aggressor
. Revelations of Doom
. Messiah
. Visions of Mortality
. Triumph of Death



La sortie de la zone de concert est périlleuse (je crâne encore de n’avoir pas offert le spectacle d’un énorme gadin dans la boue), je suis gelée et j’ai les godasses et les fringues cradingues, mais je peux aller reposer mon dos en miettes et me satisfaire d’avoir pu ENFIN refaire des concerts, que dis-je… un fest ! Et l’un de ceux que je préfère qui plus est ! Alors, oui, l’affiche finale était loin d’être celle qui m’aurait fait relever la nuit il y a quelques mois, mais elle a le mérite d’avoir existé, après ces longs mois de privations. Je ne peux que saluer l’obstination de l’orga d’avoir maintenu à tout prix cette chouette parenthèse dans une année bien pourrave, et oui, c’était bien « comme avant », remercier les bénévoles (camping, sécu, stands) chaleureux et aux petits soins, une constante année après année (ce café offert chaque matin, le top !), le travail quasi irréprochable des ingé son et lumière, comme toujours une fois de plus, bien évidemment tous les groupes qui ont, à n’en pas douter, ressenti le même plaisir que nous à l’occasion de ces retrouvailles tant attendues (mention spéciale à BÜTCHER !) et enfin, mes fidèles amis depuis des années, sans qui ce week-end n’aurait pas été possible. Un petit coucou, s’ils se reconnaissent, aux deux copains belges avec qui j’ai bien rigolé le samedi soir, c’était bien sympa et ça change des quelques – rares - connards que l’on croise inévitablement. J’espère en être l’an prochain pour une ultime édition que j’imagine déjà dantesque (et dans la boue, bien entendu) !

6 COMMENTAIRE(S)

AxGxB citer
AxGxB
02/09/2021 14:07
Chouette report que j'ai enfin pris le temps de lire. L'exercice du live-report me manquerait presque également... Hâte d'y retourner en tout cas, en salle ou en festival !
Keyser citer
Keyser
25/08/2021 11:33
Dantefever a écrit : Jalouuuuux

L'an prochain on y va ensemble


En voilà une idée qu'elle est bonne !
Dantefever citer
Dantefever
25/08/2021 11:14
Jalouuuuux

L'an prochain on y va ensemble
Keyser citer
Keyser
25/08/2021 11:06
Super report, je ne pensais plus en lire ! Grosse déception de mon côté de n'avoir pu en être à cause des restrictions sanitaires même si l'affiche n'était clairement pas incroyable. Mais Bütcher, Sodom et Sabathan m'auraient suffi ! Méan est un de mes festivals préférés alors vivement l'année prochaine pour la der des der ! En attendant, mon prochain fest devrait être le Muscadeath.
Jean-Clint citer
Jean-Clint
25/08/2021 10:20
Excellent report, comme d'habitude ! Que serait le Méan sans sa bouillasse... ?! Mr Green

Belle affiche en tout cas malgré les annulations, ça promet pour l'ultime édition ! Sourire
Charon Del Hadès citer
Charon Del Hadès
25/08/2021 10:06
Ah génial !!!! Et quel bol d'avoir pu assister à un festival en effet ! Bon, ça fait un peu loin de chez moi (quoique je n'ai pas toujours dit ça lorsqu'il fallait se rendre à un certain Brutal Assaut ou Fall Of Summer jadis, par exemple !!!), mais ça devait valoir le coup !!!!
En Bretagne nous avons du accepter,le report du Court Of Chaos (avec Asphyx en tete d'affiche), notamment, puis du Motocultor (pas grave, l'affiche n'était pas tip-top cette année).
Prochaine grosse date dans l'Ouest : le Muscadeath...enfin, si j'arrive à me libérer ! Affaire à suivre.
Mais très bon report en tout cas !

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