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Hellfest 2011 - Deuxième jour

Live report

Hellfest 2011 - Deuxième jour Scorpions + Black Label Society + Apocalyptica + Thin Lizzy + Coroner + Kreator + Bolt Thrower
Le 18 Juin 2011 à Clisson, France
(Niktareum) Réveil chaud et un peu difficile dans ce coffre mais c'est bon signe: ce samedi s'annonce ensoleillé. Pas le temps de tergiverser, le petit-déjeuner sera composé d'une bonne rasade de blasts et de growls bien glaireux sous la Rock Hard Tent en compagnie de Severe Torture. Deuxième représentant brutal death de ce festival, et pas des moindres, les bataves vont servir un set bien bourrin comme à leur habitude. Les titres issus du dernier album passent comme une lettre à la poste (« Grave Condition », « Feeding On Cadavers ») et les classiques sont toujours aussi efficaces en live (« Baptized In Virginal Liquid », « Feces For Jesus »... désolé, la setlist entière a été effacée de mon cerveau par l'alcool et la fumée). Le petit frontman Schreurs se balade sur le devant de la scène en crachant ses growls jouissifs mais on remarquera surtout le gratteux Marvin Vriesde et ses déhanchés rigolos. Je n'avais pas revu Severe Torture depuis le Brutal Assault 2006 et j'ai été bien content de retrouver l'un des groupes de brutal death qui me fait le plus headbanguer (sur CD en tout cas), et même si je garde un meilleur souvenir de leur prestation tchèque, le show de ce week-end a fait du bien aux esgourdes et a au moins permis un réveil efficace!

Une petite pause bien méritée et retour au même endroit pour le show de Hail Of Bullets. Bien que n'ayant pas écouté leur dernier album en date « On Divine Winds », j'étais heureux de revoir sur scène l'un des chanteur de death aux dents les plus blanches, Martin Van Drunen. Malheureusement malgré tous les efforts du charismatique frontman j'ai commencé à m'ennuyer ferme au bout de vingt minutes, le death souvent lent de Hail Of Bullets me captivant bien plus sur CD qu'en live. Même si l'influence d' Asphyx n'est jamais bien loin (Van Drunen et Paul Baayens oblige) j'avais été bien plus emballé par le set de ces derniers l'an passé (bon les groupes n'ont évidemment pas le même statut!). Bref malgré quelques titres bien accrocheurs issus du premier album « ...Of Frost And War » (« Red wolves of Stalin », « General winter », « Berlin », « Ordered eastward ») je ne suis pas parvenu à réellement rentrer dedans, il faut dire qu'après Severe Torture mes esgourdes ne réclamaient plus que du blast! Cela ne m'empêchera pas d'acheter « On Divine Winds » qui passera certainement mieux au casque dans mon lit qu'en ce samedi midi.

(TJ) Après s'être charogné à la bière toute la journée d'hier, hors de question de repartir sur les mêmes bases sous peine de crâne fissuré avant la fin des hostilités. Nous optons donc sagement pour le pastis en bourrant nos sacs à dos de cacahuètes pour tenir la distance, non sans faire l'impasse sur TOTAL FUCKING DESTRUCTION, SEVERE TORTURE et HAIL OF BULLETS pour survivre au thrash till death day.

Et comme vendredi, on attaque avec du death même si les Carcass-like EXHUMED sonnent clairement moins extrême qu'un KRISIUN. Ayant assisté à une demi heure de leur set, j'ai été surpris par la sobriété du show car à l'exception d'une vieille tête coupée en ciporex gavée de sirop d'érable dont le chanteur s'abreuve dans le final, rien à se mettre sous la dent niveau visuel, même pas un backdrop. Une faute de (dé)goût qui nuit un peu à la prestation des américains, dont le death thrash efficace mais classique n'a rien d'extraordinaire. Malgré tout, on appréciera les extraits de « Anatomy Is Destiny », la reprise incongrue du « Eruption » de VAN HALEN (également jouée par Gus G pendant le show OZZY, si je ne m'abuse) et la classique « The Matter Of Splatter ». Mention assez bien donc, mais bien moins percutant qu'un IMPALED dans le même registre. Et en ce qui concerne le chant, j'avoue par contre que je m'attendais à plus gore, j'avais vraiment l'impression d'entendre Steve Souza à certains moments !

(Niktareum) Place maintenant au défouloir bête et méchant Municipal Waste sur la Main Stage 2: casquettes et bandanas sont de sortie, et il était plus judicieux d'avoir préféré les baskets aux rangers pour quiconque souhaitait s'aventurer dans la fosse! Les circle pits auront en effet brassé autant de poussière qu'un escadron d' EC 145 au décollage, et les kilomètres parcourus par les festivaliers au son des « Wrong answer », « The art of partying » ou autre « Beer pressure » défilent aussi vite que les verres, pardon, les pichets de bière sont engloutis. Les ricains et leur crossover-thrash certes redondant mais ultra efficace sont rôdés dans l'art de mettre une ambiance de folie et le public le leur rend bien! Un agréable moment pour se dégourdir aussi les jambes et pas que la nuque.

(TJ) Place désormais à MUNICIPAL WASTE et son crossover thrash bas du front qui ne cesse de faire des émules à en juger par le nombre conséquent de festivaliers arborant des t-shirts à leur effigie. Le groupe a franchement gagné en notoriété depuis son précédent passage au Hellfest et le public le leur rend bien, circle pits à l'appui, les américains s'appuyant sur une setlist uniquement composée de caviars, ou plutôt de pâté de campagne arrosé au gros rouge qui tache. « Sadistic Magician », « Unleash The Bastard », « Beer Pressure », « Born To Party » et j'en passe et des meilleures (pires ?) pour une ode discontinue à la crise d'adolescence ; le chanteur ne s'exprime que sous forme d'insultes, le batteur a la dégaine d'un pilier de comptoir de PMU et musicalement, ça frappe tellement en dessous de la ceinture (nouveau morceau gag d'une macro seconde) qu'on ne peut que s'incliner devant pareille démonstration par l'absurde. La débilité profonde a encore marqué des points aujourd'hui, et c'est tant mieux !

Quoi de mieux pour patienter avant DESTRUCTION qu'une bonne dose de classic hard rock du fond des âges ? THIN LIZZY, anyone ? J'identifiais surtout le groupe par rapport aux couv' régulière de Rock Hard avec feu Phil Lynnot mais restais persuadé de n'avoir jamais rien entendu venant de ce groupe. Mais comme tout dinosaure qui se respecte, THIN LIZZY a vu son répertoire repris par pléthore de combos plus ou moins récent comme METALLICA (« Whiskey In The Jar ») ou encore DRAGONLORD (l'excellente « Emerald »), quand ce ne sont pas les navets bellicistes starring Charlie Sheen qui me sauvent de la nullité crasse (le standard « The Boys Are Back In Town », dans l'inénarrable « Navy Seals »). Un frontman rouquin et tatoué qui assure, un clone d'Izzy Stradlin à la gratte, des sosies de Marcel Dib à la basse et de Robin Leproux à la batterie et une attitude de rock stars à la cool, le compte y est : très bon moment pour un groupe que je ne comptais pas voir à la base.

Back to the basics avec le premier des trois membres restants du Big Four allemand (MUNICIPAL WASTE valant bien un TANKARD), un DESTRUCTION dont je pressens que je vais déserter au bout de quatre titres tant leur dernière offrande en date n'apportait rien de neuf au genre. Et ça n'a pas loupé avec des extraits sans saveur particulière de « Day Of Reckoning » (« Armageddonizer ») qui ont rapidement eu raison de ma mauvaise volonté, DESTRUCTION proposant de toute manière un contenu par trop stéréotypé pour me satisfaire. Déception attendue donc, et désertion vers le merch pour faire une pause décibels bienvenue avant un enchaînement non stop qui promet d'être sanglant.

Après avoir cherché en vain du CANNABIS CORPSE dans les bacs, je déniche le « We Came For The Dead !!! » de GHOUL et achève mes emplettes avec quelques classiques du grind (le grand absent du weekend), les choses sérieuses commençant enfin avec le débarquement de SODOM, groupe à grosse réputation scénique que je vois ici pour la première fois. Comme leurs camarades de DESTRUCTION, les Allemands officient sous forme de trio mais la comparaison s'arrête là tant Angelripper et un Bernemann ravi d'être là vont pilonner le public avec toute la bravoure et l'expérience que leur confère une longue et glorieuse carrière. Prise de contact semi brutale avec le title track de la dernière offensive en date « In War And Pieces » (qui sera suivi un peu plus tard par la moins convaincante « The Art Of Killing Poetry ») avant un canardage en règle qui a dépassé toutes mes attentes : boucherie sans nom sur un « Agent Orange » apocalyptique qui a mis le pit en fusion, riffs tronçonneuse sur la brise nuque « The Saw Is The Law », semblant d'accalmie sur les mid-tempo « M-16 » et « Remember The Fallen » avant des tirs de barrages insensés sur l'oldie de service, une « Blasphemer » sortie du fond des âges ! Plaisir maximum dans la molestation comme dirait Tägtgren, le seul bémol à cette immense mandale dans la tronche restant un set bien trop court pour les soldats aguerris que nous sommes. Sur le podium des meilleurs groupes du weekend, et haut la main.

Le repos du guerrier a pour nom BLACK LABEL SOCIETY et il faut croire que comme pour ANTHRAX avec Belladonna, le fait de monter sur scène avec une coiffe iroquoise n'augure rien de bon pour la suite. Passe encore la voix fluette de Zack « Kim » Wylde fort peu adaptée à son physique de bûcheron et au heavy rock graisseux défendu par l'ex enfant prodige de OZZY OSBOURNE mais de là à infliger aux spectateurs un ignoble solo interminable et dénué de tout feeling, il y a 100 mètres que nous franchiront allègrement pour profiter de la fin du set de SEPTIC FLESH, qui enchaîne les pépites de « Communion » pour le plus grand plaisir de tous. Pas eu l'occasion de voir ce que donnaient les nouveaux morceaux mais « The Great Mass » m'ayant laissé un goût amer dans la bouche, j'apprécie que les Grecs ne délaissent pas pour autant l'excellent « Summurian Demons ».

(Niktareum) Après un détour obligatoire par la maison pour une séance de décrassage et de posage de cul sur canapé, j'arrive malheureusement trop tard pour profiter de vétérans teutons de Sodom. J'en profite donc pour aller mater le set d'un groupe que je connais très mal, Septic Flesh. N'ayant écouté que quelques titres très distraitement je n'attendais rien de leur concert mais je dois avouer que j'ai plutôt bien apprécié. Le death très ambiancé des grecs se laissent écouter agréablement même pour qui ne connaît pas les chansons jouées. Je reste donc jusqu'à la fin en me disant qu'il faudrait peut-être que je me penche un jour sur leur discographie.

(TJ) Retour à la Main Stage 2 et son déplorable crachin de guitares pour une prestation à laquelle je me rends presque pour la forme, ayant déjà résisté aux assauts de KREATOR par trois fois dans le passé. Alors comme d'habitude, du classique qui passe tout seul ? Oui sur le fond et un gigantesque non dans la forme tant KREATOR a tout dévasté sur son passage, comme à son habitude ! On se doutait un peu qu'avec trois groupes de thrash Allemands se succédant sur les planches, ça serait la course à l'échalote et la surenchère dans la violence mais sans doute pas à ce point ! Exhumation en règle des trois extraits les plus présentables de « Endless Pain » (le title track donc, en medley avec « Coma Of Souls », « Flag Of Hate » et « Tormentor » pour achever tout le monde) avant un bon vieux best of des familles de la période récente, du charnier annoncé sur une monstrueuse « Enemy Of God » à « Voices Of The Dead » en passant par « Reconquering The Throne », « Hordes Of Chaos » ou encore « Destroy What Destroys You ». Et si j'ai préféré SODOM d'un chouïa, c'est en partie pour l'aspect nouveauté de l'affaire car voir KREATOR sur scène n'a vraiment (mais alors vraiment !) rien d'une promenade de santé !

(Niktareum) Quelques bières et une écoute distraite de Kreator plus tard, place l'une des légendes du death metal, j'ai nommé Bolt Thrower. Je ne connais que la moitié des huit albums sortis par le groupe mais leur set demeurera probablement pour moi comme l'un des trois ou quatre meilleurs du festival! Sous une Rock Hard Tent bondée, les Anglais assènent avec une ferveur incroyable leur death à la fois brutal et terriblement groovy. Les titres de leur excellent dernier album sont autant de tueries brise-cervicales (« The killchain », « Anti-Tank », « Salvo », le rappel sur « When cannons fade »), sans oublier les classiques tel que l'inévitable « No guts, no glory », « The IVth crusade », ou « ... For victory ». Le public ne s'y trompe d'ailleurs pas en répondant présent avec une ambiance surchauffée comme il fait bon voir. C'est sûr qu'on est loin de Scorpions qui joue sur la Main au même moment...

(TJ) Pas le temps de panser ses plaies qu'il faut déjà aller se faire charogner par BOLT THROWER sous la Rock Hard Tent, non sans appréhender la suite des évènements ; le son sera-t-il à la hauteur ? Vais-je m'y retrouver dans la longue et souvent interchangeable discographie des Anglais ? Fidèles à leur réputation de rouleaux compresseurs mais s'appuyant sur un son d'une grande clarté, les indéboulonnables Karl Willets et autres Jo Bench vont mettre tout le monde d'accord avec pas moins de trois extraits de « For Victory », leur meilleur album (« When Glory Beckons », « Silent Demise » et le title track) avant des extraits tout aussi jouissifs de « Those Once Loyal ». Grand moment d'hilarité lorsqu'un Karl tout sourire nous gratifie du V de la victoire façon Jacques Chirac sur « For Victory » avant un « No Guts, No Glory » d'anthologie en guise de charge finale. Merci aux organisateurs d'avoir changé le running order initial, ça aurait été plus qu'un crève-cœur de rater un des meilleurs show du fest !

Le Hellfest, où comment passer en un quart d'heure de « No Guts, No Glory » à « Still Loving You » ! Détour furtif par la case hospice avec un SCORPION bien mou du genou comparé à ce que j'ai pu voir de UFO (du bon heavy rock progressif, j'en aurais bien pris une tranche supplémentaire) et THIN LIZZY plus tôt dans la journée. Here I Am, Rock You Like A Hurricane ? Si ça c'est du hard rock, alors CORONER c'est de la power violence tant le contraste s'avère saisissant entre les deux formations. Pourtant le spectre d'une reformation mi figue mi raisin plane depuis la réussite toute relative de celle d'un CARCASS qu'on espérait plus gaillard sur scène, d'autant que si le guitariste Tommy Vetterli a poursuivi sa carrière, Marky Edelmann et Ron Broder avaient carrément fait une croix sur la musique ! Heureusement, même si les Suisses restent un cas à part dans la sphère metal (malgré les années et le temps tardif de la reconnaissance, leur musique tantôt speed, tantôt martiale conserve toute sa singularité et n'est pas à portée de toutes les oreilles), on sera vite rassuré, passé un démarrage inattendu sur « Golden Cashmere Spleeper Pt2 » - un inédit de la compil « Coroner » sortie en 1995 - et un rendu sonore laissant toujours un peu à désirer. Car une fois balancées les perles de « Mental Vortex » et mis à genoux par la grâce des interventions du grand Tommy, CORONER chasse tous les doutes à grand renfort de solis cristallins à statufier les plus blasés des guitar heroes, quand il ne met pas tout le monde d'accord le temps d'un « Masked Jackal » qui profite à plein de l'opération ravalement de façade. Il faut dire que leurs albums sont sortis en des temps de balbutiements en terme de production et que la prestation de ce soir est l'occasion de dépoussiérer les classiques du groupe (« No Need To Be Human », « D.O.A. », « Status: still thinking »). Les extraits de « Grin » claquent particulièrement bien, le rythme du set balançant entre groove délectable et saillies thrash metal de classe internationale, et le chant dark de Ron Broder est plus puissant qu'en studio, le jeu du batteur Marky Mark (fini les cheveux longs !) paraissant plus étoffé que sur album avec quelques variations brutales bien senties. Bonne surprise, le groupe pioche dans tous les albums de sa disco là où je m'attendais à ce que les Suisses se focalisent sur la paire « Mental Vortex/Grin » et achève son set sur un morceau en forme de poupées russes (« Grin »), la fatigue physique me contraignant à rallier la bagnole avant la fin des débats (« Reborn Through Hate », pas mon morceau préféré). Retour à la hauteur des espérances pour un CORONER en grande forme donc, même si une programmation moins tardive m'aurait permis de profiter encore plus de ce moment rare dans la vie d'un metalhead. Mais place au matelas et à la régénération, demain y a MORGOTH !

(Niktareum) Un bref ravitaillement et un peu de repos avant d'assister au concert d'une autre légende du métal présente ce samedi soir: Coroner! Qu'allait donc donner sur scène cette reformation tardive? Il aura fallu très peu de temps pour en avoir la réponse. Le trio suisse semble au meilleur de sa forme, parfaitement en place: que ce soit les soli irréprochables de Tommy T. Baron, le jeu de batterie au poil de Markus Edelmann ou la voix de Ron Broder encore meilleure qu'avant, tout s'annonce pour le mieux! Et quand vous prenez dès le troisième morceau un magistral « Masked jackal » en pleine face, c'est avec un sourire béat et une tête qui bouge toute seule malgré les courbatures. Les suisses taperont heureusement dans toute leur discographie (« R.I.P. » avec « Reborn through hate », « Punishment For Decadence » avec la géniale « Masked jackal » sus-nommée, « No More Color » avec « D.O.A. » et « No need to be human », « Mental Vortex » avec « Semtex revolution » et « Metamorphosis », « Grin » avec le titre éponyme, « Internal conflict », « Status: still thinking »...) pour le plus grand plaisir d'un parterre de fans nombreux mais peu déchaînés, visiblement fatigués de ces deux journées harrassantes. Tous les titres seront joués à la perfection par un groupe visiblement heureux de se retrouver tous les trois sur scène. Il n'en reste pas moins que voir Coroner en live est une chance et leur set reste pour moi l'un des plus grands souvenirs du week-end! Si vous rajoutez à cela une petite photo en compagnie du frontman le lendemain, vous vous doutez que j'étais joie.

(TJ) Plus émouvant que la fin de carrière de SCORPION, n'oublions pas l'hommage sympathique rendu à Patrick Roy pour ses prises de position en faveur de la diversité culturelle, vidéo et nombreuses photos à l'appui, l'homme n'ayant jamais laissé passer l'occasion de défendre la musique que l'on aime en la dédiabolisant aux yeux du grand public. Un bien beau moment sur fond de "For Those About To Rock", la suite donnant dans les oscars du metal pour portés disparus récent tels Eric Ledroit (chargé de sécurité du Hellfest) Peter Steele et Ronnie James Dio pour services rendus au sein de TYPE O NEGATIVE et BLACK SABBATH (entre autres) et MORBID ANGEL pour "Illud Divinum Insanus". Hum, je crois bien avoir rêvé ce dernier R.I.P. destiné au death metal floridien!

DOSSIERS LIES

Hellfest 2011
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Juillet 2011
  

7 COMMENTAIRE(S)

Invité citer
h1n666
01/07/2011 23:53
si moi je les ai vus, ils ont joué vers 1h45 au metal corner et j'ai adoré leur set, mais je ne suis pas objectif et c'était la 1ere fois que je les voyais. En tout cas malgré l'heure tardive je n'ai ressenti aucune lassitude, et j'ai trouvé le son très bon sur cette scène.
Henrik citer
Henrik
30/06/2011 20:51
Deuxième jour de salve métallique autour du noyau thrash qui aurait irradié même le plus imprégné des super-héros. Du bon électron rock old school version 70's legends et l'assault toutes chenilles en avant façon Bolt Thrower. Black Label Society ? euh paluchage de manche (de guitare) à faire suinter l'acajou mais pas lever les chybres, un solo immonde qui insulte la musique et des compos aussi insipides que la bière à l'eau du festival
Chri$ citer
Chri$
30/06/2011 16:30
@glaume: c'est volontaire, je reste un grand nostalgique de l'époque de "Ophidian Wheel" et je persiste à l'écrire à l'ancienne Clin d'oeil
Merci pour la setlist.
cglaume citer
cglaume
30/06/2011 15:20
@Chris:

1) Maintenant c'est Septicflesh et plus Septic Flesh

2) la set list The Haunted:

Never Better
99
The Drowning
Moronic Colossus
Unseen
In Vein
DOA
No Ghost
Dark Intentions
Bury Your Dead
The Guilt Trip
Hate Song
Niktareum citer
Niktareum
30/06/2011 14:25
Chris a écrit : Nikta, je ne peux laisser passer 2 choses: ce n'est pas Sceptic Flesh mais Septic Flesh; et oui il faut que tu te penches urgemment sur leur disco!!! Clin d'oeil
Bon l'une des deux est réglée, pour l'autre jepense que ça devra attendre euh... quelques temps! Clin d'oeil
Chri$ citer
Chri$
30/06/2011 13:15
Bis: au sujet de The Haunted, j'avais lu que Dolving avait raté son avion et que le groupe jouait à 1h du matin le samedi...personne ne les as vu? Curieux de savoir leur set list actuelle, vu la purge du dernier album...
Invité citer
Chris
30/06/2011 13:13
Nikta, je ne peux laisser passer 2 choses: ce n'est pas Sceptic Flesh mais Septic Flesh; et oui il faut que tu te penches urgemment sur leur disco!!! Clin d'oeil

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