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Hellfest 2013 - Premier jour (par Thomas Johansson)

Live report

Hellfest 2013 - Premier jour (par Thomas Johansson) Vektor + Heathen + Saxon + Europe + Testament + Twisted Sister + Black Pyramid + Sleep + Def Leppard
Le 21 Juin 2013 à Clisson, France
Absent l’an dernier, je découvre en mode flash éclair la nouvelle disposition des scènes en repérant prioritairement les Main Stages et surtout la Valley, point de chute annoncé de la plupart des groupes que j’ai listé. Je mettrai une journée de plus à repérer le rayon intox alimentaire (un petit côté fête foraine, Carnival Bizarre si vous préférez!) et une WARZONE aux allures de décharge, tout en faisant l’impasse totale sur le Metal Market. Pour le reste, ça sent la maîtrise (et la pisse hein ? Faut pas rêver) avec un décor soigné et des infrastructures idéalement réparties sur une surface plus étendue. Niveau programme, contrairement aux éditions précédentes, priorité à l’inédit au détriment des habituels marronniers type KREATOR, HELLOWEEN, KRISIUN et autres MISERY INDEX. Partant du principe de boucler chaque journée du fest à deux plombes, quelques impasses cruelles se dessinent donc à l’horizon des trois matinées. Exit DR. LIVING DEAD et WALTARI donc, pour une meilleure récupération car après une rapide analyse du running order, le climax HYPOCRISY/NAPALM DEATH du dimanche soir promet d’être physique ! Si l’accès au site n’a pas changé d’un iota depuis les premières heures du Hellfest, une embrouille d’accréditation et l’absence de repères in situ me mettent sous pression d’entrée de jeu. Un groupe apéro (VEKTOR) et un pichet de bière plus tard, me voilà enfin détendu pour juger sur pièces ce que d’aucuns annoncent comme la plus grosse sensation retro-thrash de ces dernières années.


VEKTOR (12 :50-13 :30)

J’avais déjà testé brièvement leur dernier album en listening session et rapidement, le combo de Tempe, Arizona fait l’étalage des mêmes qualités et défauts qu’en studio. Sur le plan strictement musical, rien à dire : des riffs incisifs, un contenu véloce avec ce qu’il faut de technique pour se hisser au dessus de la mêlée, les quelques touches extrêmes intelligemment distillées achevant de séduire une audience conquise par leur thrash science-fictionnel. Reste le cas David DiSanto, dont la dégaine à l’ancienne est un copier/coller du look de Zetro sur la cover de « Pleasures Of The Flesh » ; très à l’aise sur scène, aussi souriant que ses complices, le frontman tire malheureusement VEKTOR vers le bas dès qu’il ouvre la bouche, son chant criard ayant franchement du mal à passer. Où l’on retrouve la tare habituelle de la scène revival thrash, à savoir l’absence de chanteur digne de ce nom (Tony Foresta excepté), même si les Américains restent un très agréable groupe d’ouverture pour entamer les hostilités. Vu la minceur du plateau thrash cette année, on ne va pas faire la fine bouche !


HEATHEN (14 :20-15 :00)

Pendant que le stoner crew se dirige vers l’Altar capuchons sur la tête, je rate HOODED MENACE pour retrouver Niktareum et Lapin Jaune à la VIP Room. Un shot de Jagermeister et quelques verres plus tard, il est temps de se placer pour HEATHEN, dont le dernier album en date est une pure merveille. Ça tombe bien car leur setlist est majoritairement axée sur « Evolution Of Chaos » avec d’entrée de jeu les terribles « Dying Season » et « Control By Chaos », sur lesquels Lee Altus se révèle impérial. Pas aussi à l’aise chez EXODUS où il ferraille dans l’ombre de Gary Holt, le guitariste bénéficie d’une bien meilleure exposition au sein d’un groupe qu’il a crée en 1984. Boosté par un très bon son (soli impeccables et impressionnants de maîtrise), HEATHEN donne sa pleine mesure avec un excellent David White derrière le micro. Deux oldies plus tard, il est déjà temps de clôturer le set avec la fantastique « No Stone Unturned », aka « Orion Pt. 2 » pour les intimes. Une pièce d’orfèvre heavy thrash qui relègue illico l’amuse gueule VEKTOR dans les méandres d’un classement qui sera difficile à établir. Car si peu de groupes se détacheront au final durant le weekend, l’édition 2013 va s’avérer très homogène avec un niveau de jeu moyen vraiment très élevé.


SAXON (15 :05-15 :55)

Si j’avais tiqué comme beaucoup sur l’injection de tout un pan de la scène Hard Rock/Heavy Metal au sortir de l’édition 2008, les prestations de groupes comme THIN LIZZY ou HAWKWIND m’ont progressivement fait retourner ma veste. C’est donc tout content de voir débarquer l’inoxydable Biff Byford que je pivote vers la Main Stage pour headbanger sur « Sacrifice », morceau titre du dernier album en date. Comme ce pur pavé de heavy metal plombé a déjà bien tourné en bagnole avant notre arrivée, la liesse est totale et j’apprécie à sa juste valeur le show d’un SAXON en grande forme. Avec sa rythmique plombée pas si éloignée d’un TESTAMENT, « Sacrifice » est de ces hymnes immédiats qui ont fait la renommée des Anglais, même si ma dernière écoute sérieuse d’un de leurs albums remonte au paléolithique (« Solid Ball Of Rock », 1991 !). De toutes manières, avec des poids lourds comme EUROPE, HELLOWEEN et DEF LEPPARD à l’affiche, la journée sera heavy ou ne sera pas !


EUROPE (16 :45-17 :35)

Première pause sous la tente de la Valley ou nous établissons notre campement de base, en cercle, au fond à droite près des bâches. Nous écoutons d’une oreille distraite BLACK BREATH, et son fourre tout blackened hardcore thrash efficace mais très oubliable, qui aurait sans doute trouvé un accueil plus favorable à la WARZONE. Quelques pastis plus tard, nos chemins se séparent pour deux groupes au styles radicalement opposés : les compositions à tiroirs des formidables BETWEEN THE BURIED AND ME vs EUROPE et son heavy rock catchy en diable. Curieux de voir ce que valent les Suédois sur scène, je file en direction de la Main Stage 2, où les permanentés eighties à dégaine de glamouzes sont soudainement sortis de leurs tombes.

Et si les choses se sont plutôt très bien déroulées jusqu’à présent en terme de rendu sonore, on frôle la cata avec un début de set où seul le batteur Ian Haugland (et Joey Tempest, dans une moindre mesure) tirent leur épingle d’un jeu de massacre où guitares, basse et claviers se tirent dans les pattes durant les deux extraits de « Bag Of Bones » et le seul rescapé de « Out Of This World », « Surperstitious ». C’est d’autant plus regrettable que la setlist est bien étudiée, avec l’excellente « Scream Of Hanger » tirée de « Wings Of Tomorrow », les deux meilleurs titres de « Last Look At Eden » (« The Beast » et le title track, de mémoire) et l’inaltérable « Rock The Night ». Las, guère aidés par un son déplorable, les gravures de mode de Stockholm ont toutes les peines du monde à faire décoller leur show. Et encore, heureusement que l’on échappe au slows chamallow type « Carrie » et « Open Your Heart » au profit de l’excellente « Girl From Lebanon », même si Joey Tempest est un peu irritant avec ses Yes !Yes !Yes ! à répétition et ses lancers de pied de micro dignes d’une majorette. Alors EUROPE, premier flamby du festival avec son big rock mou du genou sans la béquille grosse prod qui va avec ? La preuve qu’il ne faut jamais jurer de rien, il aura suffi d’un « The Final Countdown » parfaitement délivré avec l’ambiance qui va avec pour me faire monter les larmes, dès les trois premières mythiques notes de synthé. EUROPE, ou comment changer un set moyennasse en moment inoubliable par la seule force d’un hit interplanétaire ! Du coup, impossible de parler de déception en ce qui les concerne, puisqu’aucun groupe n’est parvenu à m’émouvoir de la sorte en dix-huit ans de concerts divers et variés. Paradoxalement, je ne ressentirai pas le quart de ce feeling durant deux heures de DEF LEPPARD, pourtant à créditer d’une prestation impeccable. Maintenant au moins, je sais ce que ressens un supporter de l’AJA avant que son équipe ne prenne quatre pions contre Istres ou Arles-Avignon !


TESTAMENT (17 :40-18 :30)

Pas le temps de sortir les mouchoirs qu’il faut déjà se frayer un chemin en direction de la Main Stage 2, où les festivaliers se pressent en masse pour accueillir comme il se doit TESTAMENT et son line-up de légende. Tous les historiques de la bande sont réunis pour le meilleur (les géniaux « The Formation Of Damnation » et « Dark Roots Of The Earth » sont là pour en attester), avec l’appui non négligeable du batteur le plus monstrueux qui soit, un Gene Hoglan qui va propulser le set des Américains dans les stratosphères de la brutalité. Si j’avais déjà bien apprécié leur show de 2008 sur les mêmes terres Clissonaises avec Paul Bostaph derrière les fûts, aujourd’hui, c’est sans commune mesure : jamais le combo d’Eric Peterson n’a sonné aussi radical et ce n’est pas la setlist ultra-rapide qui va changer les choses. Avec la seule « Practice What You Preach » pour respirer un tant soit peu, le reste de la prestation vire illico à l’asphyxie avec d’un côté les classiques de la cogne (« Into The Pit », « Over The Wall », « The New Order », « D.N.R. ») et de l’autre les pépites récentes (immense charnier sur « Native Blood », « Rise Up » et « True American Hate »). A ce niveau d’enfonçade, même « More Than Meet The Eye », plutôt souple sur album, sonne comme le plus jusqu’au-boutiste des speederies thrash. Pris à la gorge par la cadence imprimée par le meilleur combo du genre en exercice, j’en oublie les approximations sonores sur « Native Blood » pour accompagner du bras toupas toupas, blasts et soufflantes d’un Chuck Billy aussi hilare que son compère Alex Skolnick (Dieu !), pris en flagrant délire d’oubli de parole lorsque la machine s’emballe. Qu’on se le dise, les nouveaux titres sont d’une efficacité décuplée en live. Une fois n’est pas coutume, j’apprécie plus le répertoire récent que les classiques et c’est sur les reins que je termine un set pas loin d’être d’anthologie. Malheureusement pour moi, je vais déchanter bien vite avec l’arrivée des plus gros imposteurs de l’histoire du rock (avec MOTLEY CRUE) j’ai nommé TWISTED SISTER.


TWISTED SISTER (18 :35-19 :35)

J’avais déjà eu du mal à m’enfiler « Come Out And Play » à quinze piges, alors ce n’est pas avec 20 ans de bouteille supplémentaires que j’allais avoir la révélation. Sorte de sous ALICE COOPER sauvé par l’émergence de MTV, TWISTED SISTER est connu pour compter en ses rangs le pitre de service Dee Snider, dont un des récents faits d’armes reste un featuring avec Gordon Ramsey dans Kitchen’s Nightmare. En attendant que Philippe Etchebest fasse de même dans la version française avec Bernie Bonvoisin, on devra se contenter de la version unmasked (KISS, autre grand mystère de l’histoire du hard rock). Sorte de Sarah Jessica Parker avec vingt ans de plus dans les dents, Dee Snider me ferait presque regretter de ne pas mater un épisode de Sex And The City tant ses gesticulations me laissent de marbre. La musique également remarquez, les vétérans du glam poussant le bouchon jusqu’à capitaliser un gros quart d’heure sur « I Wanna Rock ». Des hymnes rock basiques au possible qui, soyons honnête, semblent bien prendre dans un public tout acquis à la cause des ricains (« We’re Not Gonna Take It »). Pour ma part, je persiste à penser que tout ça est d’un bien bas niveau et que le bassiste Mark « The Animal » Mendoza, incarnation vivante du mauvais goût avec son bouc taillé au laser et sa veste en peau de léopard, a vraiment une gueule de violeur d’enfants.


BLACK PYRAMID (19 :40-20 :40)

Le combo fatigue + musique de merde agissant à vitesse grand V, je ressens le besoin de me caler sur fond de groove et de pesanteur seventies. Tant pis pour KREATOR, que j’ai déjà vu tant de fois et dont je pressens qu’ils vont me refourguer encore et toujours la sempiternelle setlist. Comme en plus « Phantom Antichrist » ne m’a pas marqué plus que ça, direction la Valley et les effluves stoner reposante de BLACK PYRAMID. Trio d’Américains en provenance du Massachusetts, BLACK PYRAMID est la bonne pioche de la journée avec une came tantôt lourde, tantôt aérienne qui prodigue de délicieux effets relaxants sur mes tympans en voie d’extinction. De facture classique, leurs morceaux propices à la détente nous incitent à tomber quelques sandwiches faits main pour reprendre des forces, avant de rouler en boule nos morceaux de papier aluminium pour viser les verres de pisse des collègues. Il a suffi que je salue la prestation sans tache de Daryl Shepard (ex-MILLIGRAM, entre autres) pour que trois projectiles finissent leur course dans mon brau de bière (plus si) fraîche. Bande de traitres !


SLEEP (21 :50-22 :50)

Sagement, nous prolongeons la pause une heure durant jusqu’à l’arrivée de SLEEP. Si la présence d’un Matt Pike bedonnant mais volontaire fait un temps regretter le désistement de HIGH ON FIRE, la leçon stoner/doom assénée par le combo de San Jose sera retenue à la lettre. La base du riff qui plombe, suspendue entre deux coups de cymbales aussi éloignés l’un de l’autre que Clisson et le beau temps, donne toute sa signification au mot pesanteur. Un peu à la façon d’un KARMA TO BURN donnant dans le tout instrumental (qui foulera ces mêmes planches le dimanche), SLEEP n’accorde qu’une importance relative aux lignes de chant discrètes d’Al Cisneros pour appuyer là où ça fait mal, durant de longues plages instrumentales sapant toute velléité de fuite dans l’assistance. Ecrasement et emprise mentale ne sont pas de vains mots pour un SLEEP distillant heureusement quelques envolées rock plus légères avant d’enfoncer le clou de plus belle, façon prise du marteau de Zangief. Si dix minutes de moins n’auraient pas changé la donne, c’est les jambes coupées que je m’extrais péniblement de la tente pour aller prendre ma dose de hard FM. J’ai 106 ans. A ce stade, je suis dans le même état de délabrement que le dimanche soir, au sortir de la cataclysmique édition 2007. Pas à dire, ça promet pour la suite.


DEF LEPPARD (23 :10-00 :55)

J’ai beau chroniquer du brutal à tour de bras depuis mon arrivée sur Thrashocore, je l’avoue sans peine, DEF LEPPARD est l’une des trois ou quatre têtes d’affiche qui ont motivé ma venue au Hellfest cette année. La raison est simple : à l’instar de EUROPE, il s’agit d’un de ces groupes tremplin qui m’ont propulsé dans la sphère hard rock, à l’heure où j’en étais encore à enregistrer du 2 UNLIMITED sur K7 en écoutant NRJ. Autre temps, autre lieu que les quatre murs de ma chambre d’ado et si j’ai depuis mangé quantité de concerts des Anglais en DVD, je mettrai plus d’une heure à rentrer dans un show, comme souvent, réglé au millimètre. Pourtant, tout est calibré comme attendu avec un son gigantesque, un écran géant derrière les musiciens (Vivian Campbell, qui s’est coupé les tiffs, a une bien meilleure trogne) et le light show qui va avec. On le sait, DEF LEPPARD en live, c’est clinique. Le genre de groupe qui donne l’impression d’écouter un bon gros best of chez soi, devant une improbable chaîne HIFI de 120 mètres carrés. L’anti-DOWN en quelque sorte. Pour l’occasion, les géniteurs du best-seller « Hysteria » ont décidé de découper leur set en trois parties bien distinctes. Une première consacrée à un pot pourri de standards plutôt bien balancés (« Switch 625 », « Let’s Get Rocked », « Foolin’ », « Action », « Wasted »), un rappel faisant la part belle à « Pyromania » (« Photograph », où je retrouve Niktareum bien chargé aux abords de la VIP Room) et le gros morceau de la soirée, à savoir « Hysteria » joué en intégralité et dans l’ordre. Il y a quelques années en arrière, j’en aurai perdu mon dentier.

Sauf que là, rien ne claque. Je ne saurai trop dire si c’est de la faute du groupe ou de la mienne, mais hormis sur « Women », je me fais chier au point d’envisager d’écourter le concert. Si l’on peut blâmer la dégaine de rock star de Joe Elliott (qu’on a connu plus en forme) un peu déplacée vu le contexte (la même qu’Andi Deris en fait, mais lui fait tellement le mariole que ça passe nickel) et surtout un interlude vidéo longuet qui sera mal compris par une partie du public, je n’occulte pas l’état d’épuisement généralisé dans lequel je me trouve, ni la trempe délivrée par SLEEP dont j’ai du mal à me remettre. Alors je m’accroche aux branches de « Armageddon It », priant pour qu’elle soit suivie d’une « Gods Of War » si rare en live. Ils la jouent, et franchement bien. Enchaînement « Don’t Shoot Shotgun/Run Riot ». Là aussi, deux oubliées de leur setlists qui mettent du baume au cœur. Ça fonctionne enfin, au point que j’en apprécie même une fin de programme que je zappe d’habitude lorsque j’écoute l’album (« Hysteria », « Excitable », « Love And Affection »). Résultat des courses, pas déçu alors que c’était franchement mal engagé. Je repars vers la Valley manger un dernier morceau de NEUROSIS (que j’apprécie ! incroyable) avec un sentiment étrange : techniquement parfait, DEF LEPPARD et ses deux heures de show ne m’a pas emballé comme il aurait dû le faire (le manque de ferveur dans le public n’a pas aidé), alors que EUROPE et son set foireux m’a presque marqué au fer rouge avec un titre, un seul. Le cœur a ses raisons …

15 COMMENTAIRE(S)

Thomas Johansson citer
Thomas Johansson
04/07/2013 11:42
AxGxB a écrit : Chouette report. J'aurai vraiment aimé être là pour voir Sleep!

Merci beaucoup Greg!
AxGxB citer
AxGxB
04/07/2013 11:02
Chouette report. J'aurai vraiment aimé être là pour voir Sleep!
Thomas Johansson citer
Thomas Johansson
04/07/2013 09:51
Ant'oïn a écrit : En plein milieu de la fosse il me semble. J'ai remarqué qu'avec les Mainstages il fallait pas aller trop loin, car le son se degrade tres vite, notamment le premier jour avec pas mal de vent. Par exemple pour Testament le son était plus que moyen pour moi, j'étais assez éloigné.

Effectivement. Pour Riverside j'étais quasi collé à la barrière, y a eu aucun soucis. Les conditions étaient plus changeantes pour Testament mais ça charognait tellement que je suis passé outre!
Thomas Johansson citer
Thomas Johansson
04/07/2013 09:49
Bentalife a écrit : Bon report mec... Je me suis bien replongé dans l'ambiance de cette premiere journée !!!

Merci Ben! Bien cool que t'ai accroché à Witchcraft et My Sleeping Karma.
Ant'oïn citer
Ant'oïn
03/07/2013 21:47
En plein milieu de la fosse il me semble. J'ai remarqué qu'avec les Mainstages il fallait pas aller trop loin, car le son se degrade tres vite, notamment le premier jour avec pas mal de vent. Par exemple pour Testament le son était plus que moyen pour moi, j'étais assez éloigné.
Invité citer
Bentalife
03/07/2013 20:49
Bon report mec... Je me suis bien replongé dans l'ambiance de cette premiere journée !!!
Thomas Johansson citer
Thomas Johansson
03/07/2013 10:46
Ant'oïn a écrit : Magnifique report et d'accord sur a peu près tout sauf que Europe qui pour moi était le mega coup de coeur du fest. Je trouve que le groupe s'est vachement demarque du reste des groupes pendant les 3 jours. Pour moi c'était genre "nouveau" malgré le statut de legende. Je m'attendais a un Final Countdown mal place sans emotion, et ben mon cul ouai après un set super réfléchit et une ambiance propre, ca m'a bien foutu la trique. Et le son était nickel j'ai trouvé.

En tout cas les reports sont excellent et super écrit !


Merci beaucoup pour les compliments! Pour Europe c'est plus le son qui m'a décontenancé que la perf du groupe en elle même. T'étais placé où?
Henrik citer
Henrik
03/07/2013 09:48
Premier jour d'une grande qualité! vu VEKTOR, HOODED MENACE, HEATHEN, SAXON, BLACK BREATH, BETWEEN THE BURIED AND ME, TESTAMENT, TWISTED SISTER, BLACK PYRAMID, SLEEP, AT THE GATES, NEUROSIS.
Belle mention pour les thrashers Heathen et Testament, mais en même temps j'ai du faire l'impasse sur Black Cobra et Pallbearer!!!
Sinon rien à dire, parfait avec un bémol pour Vektor, riffs et voix à l'ancienne mais faut qu'il s'achètent un peu de puissance... Sinon set de Between the Buried and Me hallucinant, rageur, technique, spatial, top.
Et sous la Valley (le QG) comme d'hab c'est la ponce, héhé.
Ant'oïn citer
Ant'oïn
03/07/2013 09:45
Magnifique report et d'accord sur a peu près tout sauf que Europe qui pour moi était le mega coup de coeur du fest. Je trouve que le groupe s'est vachement demarque du reste des groupes pendant les 3 jours. Pour moi c'était genre "nouveau" malgré le statut de legende. Je m'attendais a un Final Countdown mal place sans emotion, et ben mon cul ouai après un set super réfléchit et une ambiance propre, ca m'a bien foutu la trique. Et le son était nickel j'ai trouvé.

En tout cas les reports sont excellent et super écrit !
Thomas Johansson citer
Thomas Johansson
03/07/2013 08:24
Professor Professorson a écrit : Oh un vrai report. Ca fait plaisir (même si les groupes décrits ne sont pas fameux haha).

Pour Sleep, tu connais la raison de l'énervement du bassiste/chanteur à la fin ?


Merci Prof! Pour Sleep, honnêtement, je n'avais même pas capté. Trop occupé à manger du riff en dodelinant du crâne donc je ne saurais te répondre.
Invité citer
Professor Professorson
02/07/2013 19:23
Oh un vrai report. Ca fait plaisir (même si les groupes décrits ne sont pas fameux haha).

Pour Sleep, tu connais la raison de l'énervement du bassiste/chanteur à la fin ?
the gloth citer
the gloth
02/07/2013 16:07
J'ai vu Twisted Sister au Graspop ce weekend et c'était de la balle, malgré une pluie ininterrompue (notre fameuse "drache" nationale). Dee Snider est un grand showman, et le public était à fond dedans. Un des grands concerts du festival.
goriyaz citer
goriyaz
02/07/2013 14:38
Thomas Johansson a écrit : Je repars vers la Valley manger un dernier morceau de NEUROSIS (que j’apprécie ! incroyable)

Je retiens cette donnée importante. Tu t'en mangeras la prochaine fois que tu passeras à la maison!

PS: je confirme pour Twisted Jessica Parker, c'était cool
Thomas Johansson citer
Thomas Johansson
02/07/2013 14:02
Jamais pu encaisser ce groupe, mais Goriyaz a bien apprécié lui. Par contre je savais pas pour la chimio de Vivian, ceci explique cela!
Keyser citer
Keyser
02/07/2013 13:51
T'es dur avec Twisted Sister! Je ne les ai jamais vus en live mais ils ont sortis quelques tueries (en particulier "Stay Hungry").

Concernant Vivian Campbell, je crois qu'il a subi une chimio pour son cancer, d'où les cheveux courts...

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