Hellfest 2007
Live report
Hellfest 2007 Troisième jour
Le 24 Juin 2007 à Clisson, France
Déjà le dernier jour de ce Hellfest cuvée 2007, toujours aussi boueux mais avec, come samedi la clémente abscence de la pluie...jusqu'à 21h, heure à partir de laquelle il pleuvera comme jamais! Mais passons tout de suite aux groupes, car ce dimanche fût riche en concerts de qualité.
IMPUREZA (Discover Stage) : les Français étaient passés à Paris en 1ère partie de Suffocation fin mars et m'avaient convaincus. Ils ont continué sur leur lancée. Brutal death efficace et plutôt original puisque quelques interludes acoustiques typés flamenco s'invitent entre deux séquences de blasts de l'excellent batteur. Parties acoustiques réellement jouées cette fois-ci et non samplées. A part un son approximatif, voilà une manière très sympa de commencer la journée! (KS)
MANIGANCE (Gibson Stage) : Arrivé dans les premiers sur les lieux, j'assiste, au bord de la scène (et donc, dans un parterre clairsemé) à la prestation de Manigance dont je n'attendais rien (ne connaissant pas leur discographie) … mais qui m'a bluffé par la qualité de son set : musiciens bien en place et très pros, son excellent, morceaux communicatifs. Une autre bonne surprise qui va m'inciter à me pencher plus sur leur discographie. (EN)
EPHEL DUATH (Gibson Stage) : malgré l'absence de bassiste, le groupe m'a hypnotisé grâce à sa technique jazzy chaotique hors du commun et des musiciens exceptionnels, notamment le batteur qui jouait ses parties tout en toucher, cassures et contre-temps avec une tablature devant lui. Sa batterie était par ailleurs placée perpendiculairement à la scène sur le côté droit, faisant face au guitariste (lui aussi de profil par rapport au public) qui a enchaîné les riffs jazzcore tarabiscotés. Le chanteur n'était pas en reste, en transe totale lors qu'il ne chantait pas ses vocaux majoritairement criés. C'est peut-être difficile à suivre quand on ne connaît pas bien les compos des Italiens mais ce fût tout de même une excellente surprise! (KS)
HOMESTELL (Discover Stage) : Sous un chapiteau clairsemé Homestell a délivré son métal-hardcore de plutôt bonne facture, avec quelques passages à la limite du deathcore. Le tout m'a même paru un poil plus bourrin que sur leur album « Désillusions ». Sympathique. (NT)
ANIMOSITY (Main Stage) : Surprenant de voir ce groupe méconnu sur la grande scène mais les Américains ont en fait échangé leur place avec 1349 pour des raisons que je ne connais pas. Pas spécialement original, le groupe fait dans un deathcore ultra efficace parfait pour le live même si l'effet s'est vu quelque peu atténué par la taille de la scène, leur musique étant plus adaptée aux petites salles surchauffées. Du mosh, un peu de blasts, des cris (que j'aurais préférés plus gutturaux et porcins cela dit), on a eu quand même pour notre argent! (KS)
Annoncé comme du brutal death, je n'ai rien vu de vraiment brutal la dedans, ni rien de vraiment transcendant ce qui fait que je suis parti prématurément au bout de quelques titres. (EN)
SCARVE (Gibson Stage) : La présence de Scarve au Hellfest soulevait de nombreuses questions. Avec qui au chant ? et avec quel batteur ? réussiront-ils à défendre au mieux les compositions exceptionnelles du récent « Undercurrent » ? Epaulés par Bob de Watcha et un bûcheron danois (apparemment échappé de Nightrage), les nancéens s'en sont bien sortis. Même amputée de plusieurs têtes, l'hydre techno death défendit chèrement sa peau en couvrant de large extraits des deux derniers albums (Asphyxiate, FireProven, The Plundered). Si Bob n'a ni le coffre de Pierrick ni l'aisance vocale de Lawrence McKrory, sa polyvalence a permis au groupe de rester fidèle à l'alternance chant clair/chant death qui est une de ces marque de fabrique. Un bon choix ou plutôt deux, le batteur n'ayant eu aucun soucis pour retranscrire les parties de Dirk Verbeuren. Si le son approximatif a un peu mis sous l'éteignoir la richesse de certains passages, le parti pris d'une setlist brutale (Mirthless Perspectives, Senseless, Endangered) s'est avéré payant. (TJ)
DARK TRANQUILLITY (Main Stage) : S'ils n'ont eu aucun mal à écarter la menace Bodom (dotés du pire son du festival), les suédois ont livré une prestation sans surprise majeure pour qui les a déjà croisé en tournée. C'est carré, très pro, le son est nickel (ce qui, dans le contexte du Hellfest, n'était pas gagné) et les morceaux de « Fiction », le petit dernier en date, ne détonnent pas au milieu d'une setlist tournée vers les dernières sorties du groupe (Focus Shift, Final Resistance, The New Built). Autant ça commence à sérieusement ronronner sur album, autant en live c'est pareil et on peut se demander si DT n'aurait pas intérêt à piocher un peu plus dans son répertoire plutôt que de nous resservir toujours les mêmes plats (The Wonders at your Feet, Punish my Heaven, que des raretés !). Moyennement enthousiaste donc, mais mon peu de goût pour « Fiction » n'y est sans doute pas étranger. (TJ)
Un groupe que j'affectionne beaucoup mais qui n'a pas réussi à vraiment m'emballer. Peut-être parce que « Fiction » a été très représenté alors que je connais pas beaucoup ce nouvel album. Le final sur The new build m'aura malgré tout bien fait headbanguer. Mais je reste là aussi un peu sur ma faim. (EN)
KAIZEN (Discover Stage) : Aborted ou Kaizen ? Le choix fut rude! Mais les chevauchements étant inévitables, il me fallu choisir. Ayant déjà pu voir Aborted en live à plusieurs reprises, mon choix se tourna donc vers nos frenchies de Kaizen. Et autant avouer que je n'ai pas été déçu une seconde tant le groupe a assuré comme des chefs. Alors que lors de mes premières écoutes de « Sink » je m'étais dit que ce deuxième album était parfois un peu mou ou disons trop lent, je peux vous dire que ce sentiment a vite été complètement balayé car les titres de cet album sont des monstres de puissance en live ! Et le public s'en est d'ailleurs donné à cœur joie sous le chapiteau qui a été bien énervé durant tout le set des franciliens. Enervés, les membres du groupe l'étaient aussi assurément et chacun nous a livré une très bonne prestation, pleine d'énergie, que ce soit les gratteux, le bassiste ou Johann le chanteur qui a fini à genoux. Le son était par ailleurs excellent (comme souvent sous ce chapiteau à l'abri du vent). Bref très content d'avoir vu pour la première fois Kaizen sur scène et j'y retourne dès que je peux ! (NT)
ABORTED (Gibson Stage): Un des concerts les plus brutaux du fest! Du blast du début à la fin et les quelques passages moins speed ne sont que prétexte à un groove ravageur. Mais bon, tout le monde connaît la musique du combo franco-belge et sait que c'est de la tuerie sur scène. Ce fût à nouveau confirmé avec en plus le meilleur son qu'il aient eu de toutes les fois où je les ai vus! Et les festivaliers ont aussi apprécié vu la furie du pit, et ce malgré la boue qui n'a toujours pas envie d'aller voir ailleurs! A noter que le nouveau batteur, âgé de seulement 18 ans a été d'une maîtrise exemplaire! Décidément, on enchaîne les gros concerts en ce dimanche! (KS)
La palme du son le plus gras est décernée à ... Within Temptation ! Si le fest avait eu lieu à Disneyland, peut être. Mais dans les sables mouvants de la Gibson stage, c'est tout naturellement qu'Aborted a conservé son rang de cuisto en chef, confirmant ainsi son retour au premier plan après un excellent « Slaughter & Apparatus ». Enorme son et grosse prestation pour la plus grande joie des nombreux bouchers venus se repaître de rations de double pédale et de riffs carcassiens. Du coup, on a déjà oublié Canniboule et on se marre à la vision d'un couple de lovers enlacés à quelques mètres de ce massacre en règle. Si jamais les tourtereaux ont consommé dans la foulée, pas de doutes à avoir, leur progéniture goûtera la bière et la viande rouge. (TJ)
ATHEIST (Main Stage) : Un groupe culte à ne pas louper … soit disant. Tout comme Cynic (qui m'a saoulé en moins de deux), je n'ai pas vraiment aimé. Les morceaux partaient un peu trop dans tous les sens même si les passages death un peu gras étaient quand même plus présents et mieux sentis que chez Cynic. Mais bon, ce n'était pas ma tasse de thé. (EN)
BEHEMOTH (Gibson Stage): un peu comme ABORTED, on est jamais déçu par les Polonais! Malgré la petite voix de Nergal, qui avait chopé la crêve mais qui a tenu malgré tout à assurer le show (applaudissement au passage!), le concert fût brutal, carré et efficace comme jamais! Et les morceaux issus du petit nouveau « The Apostasy » (Prometherion et Christgrinding Avenue) n'ont pas à rougir façe aux classiques du groupe tel que le tubesque Decade Of Therio", toujours aussi dévastateur. Et quel batteur mes enfants aussi, avec des blasts du feu de Satan! (KS)
J'étais assez mal placé mais j'ai quand même pu bien apprécier la qualité du set des polonais, fidèles à leur réputation scénique, c'est-à-dire dévastatrice. Les classiques étaient là (Christians to the lions, Antichristian phenomenom) ainsi que de nouveaux titres du très efficace « The Apostasy ». Une très bonne prestation selon moi. (EN)
KREATOR (Main Stage): Quel plaisir de revoir la bande à Mille depuis la dernière fois, c'était en 2005 en compagnie de Dark Tranquillity. Un Mille en pleine forme, toujours aussi punk et revendicateur dans l'esprit et qui sait toujours aussi bien brailler de sa voix si caractéristique! Rien à redire sur la performance des Allemands, aidés d'ailleurs par un son très convenable (celà n'a pas toujours été le cas sur cette grande scène à cause du vent) et acceuillis comme il se soit par le public. Peut-être pas le concert du week-end mais un très bon moment plein de nostalgie avec tous ces vieux titres (Flag Of Hate, People Of The Lie, Pleasure To Kill, Tormentor). (KS)
Pilon contre pilon. Qui de Vader ou Kreator a remporté le concours du plus beau tir de mortier ? Malgré une artillerie plus récente (un The Art of War imparable, une avalanche de blasts), Vader a dû baisser pavillon devant l'ancêtre. Une meilleure gestion de l'attaque de riffs (Extreme Aggression, Pleasure to Kill) et une parfaite maîtrise du terrain (Suicide Terrorists, Flag of Hate) ont suffi aux allemands pour remporter une victoire décisive sur leur voisin polonais. Aveugler l'ennemi sous une épaisse couche de fumigènes pour mieux l'achever avec Tormentor, c'était plutôt bien vu ! (TJ)
Etant allé me reposer un peu, je n'ai vu que la seconde moitié de leur set. Tout comme Slayer, un grand moment de sauvagerie avec des classiques du thrash à foison et un Mille Petrozza rageur (et visiblement excédé pendant l'annonce de Flag of hate). Un des grands moments du festival à n'en pas douter. (EN)
1349 (Discover Stage): alors là, alors là...si je m'attendais à prendre une telle baffe!? Je savais que les black métalleux de 1349 étaient accrocs du blasts et des riffs froids sans concession mais je ne pensais pas traverser un tel ouragan de haine! Le quintette norvégien, dont le fameux Frost (Satyricon) hallucinant de vitesse derrière son kit, arrive en tenant des torches enflammées, référence claire à leur dernier album « Hellfire ». On est déjà dans l'ambiance! Et pendant une grosse demie-heure, ce sera un déferlement de violence comme rarement j'en ai vu! Malgré un son très brouillon mais qui collerait presque au caractère chaotiquo-guerrier de la musique de 1349, le groupe va mettre le public, entassé sous le chapiteau de la petite scène, à genoux. Impressionnant! (KS)
1349 c'est la guerre ! Sous le petit chapiteau plain à craquer l'atmosphère est suffocante. Frost et sa bande ont fait régner la terreur pendant trente. Un set guerrier, dont j'ai zappé la fin pour ne pas être exterminé sous les assauts du groupe (et accessoirement pour bien me placer avant le début de Megadeth). (NT)
EDGUY (Gibson Stage) : J'aime bien ce que font les allemands sur CD. Mais un début de set bien mou et un son déplorable (ainsi qu'un slammer assez casse-couilles) m'ont incité à aller trouver une bonne place pour Megadeth (EN)
MEGADETH (Main Stage) : tout simplement LE concert du fest. Pas par l'intensité, la brutalité ou la haine de la musique comme ce fut le cas pour ABORTED, NAPALM DEATH ou 1349. Mais parce que le répertoire de MEGADETH contient parmi les plus grands titres de l'histoire du métal. Alors quand Dave Mustaine est en forme olympique, que les autres musiciens ne servent pas que de sparing partners et arrivent même à reprendre à la note près les sublimes soli de Poland et Friedman et que le son est parfait, imaginez l'effet produit par Peace Sells...But Who's Buying?, Symphony Of Destruction, Hangar 18, Tornado Of Souls ou Holy Wars jouée en final! Rajoutez à la liste 4 titres de l'excellent nouvel album « United Abomination » (Sleepwalker en intro puis Washington Is Next, Gears Of War et Never Walk Alone) qui passent sans embûche le cap du live, et vous obtenez un magnifique concert, dont le grand moment sera bien évidemment le refrain du hit A Tout le Monde repris par les 13 000 personnes présentes, accompagnées par la pluie qui fait son apparition pour ne plus nous lâcher jusqu'à la fin d'EMPEROR. (KS)
Devant un parterre de fans déjà conquis, la bande au père Mustaine débarque sur scène. Sleepwalker, extrait du dernier album « United Abominations » ouvre les hostilités. Et déjà une bonne chose : le son est excellent, ouf ! La mégamort nous jouera 3-4 titres de ce dernier opus et bien sûr une tonne de classiques repris en chœur : Peace sells, Take no prisoners , Symphony of destruction, Hangar 18 et évidemment A tout le monde dont le refrain sera chanté a capella pour le plus grand plaisir de Dave. Le set se terminera en beauté par Holy wars. Un grand moment de bonheur que ce concert de Megadeth, des tubes, des gratteux excellents et un bon son : de quoi satisfaire tout bon fan. (NT)
J'ai attendu 15 ans pour voir Mustaine et ses ouailles sur scène alors n'espérez pas une once d'objectivité de ma part sur ce coup là ! même s'ils avaient joué « Risk » en intégralité, version acoustique avec un MegaDave aphone j'aurais quand même kiffé. Sous une clameur populaire digne d'un stade de foot (fallait voir le barouf sur chaque soli, un truc de dingue !), les américains ont déroulé une set-list de rêve, charpentée autour de « Rust in Peace » (Take no Prisoners, Hangar 18, Tornado of Souls et Holy Wars pour achever un pit déchaîné) et du petit dernier, « United Abominations » (Sleepwalker, Washington is Next, Gears of War et un Never Walk Alone amputé de son break). Toutes les conditions étaient réunies pour hisser ce show dans le hall of fame : des musiciens au sommet de leur thrash (festival de riffs et de leads de la part de Mustaine et Glen Drover), une ambiance de feu et un enchaînement ininterrompu de hits maison (Symphony of Destruction, Wake up Dead, A Tout le Monde, Peace Sells, She-Wolf). Triomphal ! (TJ)
LE concert du festival en ce qui me concerne. J'avais une très bonne place ce qui m'a permis de bien apprécier le show. Le son état vraiment très bon et, surtout, la setlist était très bien choisie, faisant à la fois la part belle au dernier album ainsi qu'aux classiques du groupe, qu'ils soient issus de « Peace sells … », « Rust in peace » ou « Coutdown to extinction », sans oublier le moment fort du set avec « A tout le monde » dont le refrain fut repris en chœur par un public comblé. Mustaine semblait ravi. Peu communicatif au début, il n'a eu aucun mal à se mettre l'assistance (qui ne demandait que ça) dans la poche. Chapeau bas aussi à son nouveau line-up tout simplement royal. (EN)
DREAM THEATER (Main Stage) : Evidemment, on peut prendre un concert de Dream Theater par le biais de la démonstration, du tour de force imposé par des musiciens au sommet de leur aisance technique. Ce serait par trop réducteur, tant les américains se sont efforcés d'enrichir leur répertoire de titres accrocheurs comme l'entraînant As I am, l'inoxydable Pull me Under et surtout la poignante Endless Sacrifice, vraiment proche par instants du Welcome Home des Four Horsemen. Un impressionnant feu d'artifices sonores pour un des meilleurs concerts du festival. (TJ)
Je n'aime pas trop ce que fait le groupe sur CD. J'ai assisté à une bonne partie du set, plus par curiosité qu'autre chose. Finalement, j'ai trouvé le début de leur prestation plutôt efficace et pas aussi chiante que je l'aurait craint. Mais les morceaux les plus « calmes » n'ont pas sur retenir mon attention et je suis allé me reposer un peu avant la prestation très attendu des norvégiens d'Emperor. (EN)
EMPEROR (Main Stage) : Programmé en clôture du mudfest, Emperor n'avait pas la partie facile. Aux conditions climatiques à nouveau exécrables (qui ont fait ressurgir le spectre d'une annulation de dernière minute) s'ajoutait la fatigue bien compréhensible des festivaliers, restés nombreux pour accueillir le légendaire combo norvégien. Sans parler du redoutable honneur de succéder sur la main stage à Megadeth et Dream Theater, auteurs de deux prestations monstrueuses. Passé quelques problèmes de son au début du set, Emperor a vite ravivé les braises. Un superbe An Elegy of Icaros pour lancer définitivement la machine, suivi d'un Curse you all Men ! toujours aussi cinglant et l'on retrouvait le Emperor que l'on vénère : à la fois grandiose et violent, épique et surpuissant (cette attaque de double pédale sur Ye Entrancemperium ! du jamais entendu). Le souffle du grand nord balayait la plaine et le groupe profitait de son retour sur scène pour enfin jouer un titre de « Prometheus », la tétanisante In the Wordless Chamber. Grandiose. (TJ)
Je n'ai malheureusement pas vu voir l'intégralité de leur prestation (je suis pas parti juste après Curse you all men. On avait un peu de mal à reconnaître les 2 premiers morceaux mais après, le son s'est nettement amélioré ce qui permettait de mieux apprécier la qualité des compos du groupe. Ihsahn est vraiment un frontman impressionnant et j'ai surtout été bluffé par la qualité de son chant clair. On avait vraiment le sentiment d'assister au « Emperial Live » tellement le rendu était bon. Un peu déçu d‘avoir du partir si tôt mais la première moitié de set valait vraiment le coup. (EN)
Peut-être le meilleur jour du fest ce dimanche, le Hellfest aura le mérite de terminer sur une bonne note, une excellente même!
BILAN
Si cette édition du "Mudfest" aura été marquée par tout un tas de problèmes, que soit sur un plan organisationnel/gestionnel ou climatique, ce qui restera surtout en mémoire sera cette affiche exceptionnelle et ces concerts mémorables. La boue a eu beau démotiver les troupes, la 1ère chose qu'on veut faire une fois rentré à la maison, c'est y retourner! Alors à l'année prochaine!
Les +:
- l'affiche
- les concerts
- la volonté des groupes de jouer malgré les conditions
- la terrasse du point presse idéale pour observer les groupes de loin
Les -:
- la boue
- la pluie
- l'organisation à la rue et débordée par les événements
- la gestion catastrophique de tout ce qui concerne l'hygiène (eau, douche, toilettes...)
- la boue
- le point presse ridicule et beaucoup plus petit que celui de l'année dernière alors qu'il y avait deux fois plus d'accréditations
- Korn et son attitude inadmissible
- la boue
- l'extreme market décevant
- le viol d'une jeune femme
- le camping moisi payant au début puis gratuit ensuite
- j'ai dit la boue?
(KS)
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