Wolfkrieg - When the Cold Comes
Chronique
Wolfkrieg When the Cold Comes
[ A propos de cette chronique ] Je suis un sale menteur. Cet album est d’abord sorti en 2019, mais j’ai décidé de le dater de 2020. Je sais, c’est mal, mais voilà, ce qui est sorti en 2019, c’est sa version digitale uniquement. Et moi, je suis de la sale vieille école qui n’arrive pas à se concentrer convenablement sans son support physique. Pire, je considère presque que l’album n’existe pas s’il n’est pas sorti en CD, vinyle ou K7… Je me doute que les années à venir vont m’obliger à m’y faire et que déjà je passe à côté de certaines sorties, mais c’est ainsi encore en 2020 pour Sakrifiss : les sorties non physiques sont dans son esprit des démos, et vu qu’il doit faire des choix dans ses sélections, il se concentre sur le physique…
Et puis le duo russe de
WOLFKRIEG a toujours été comme ça, à sortir d’abord son opus en digital avant qu’il soit quoi qu’il en soit proposé en CD quelques mois plus tard. Il partage cette façon de faire avec son ancien frère d’armes,
HOLDAAR et ils semblent y tenir... Oui, je fais à nouveau le parallèle entre les deux groupes mais comment faire autrement étant donné qu’ils n’ont pas uniquement partagé le même label, mais aussi un esprit, une thématique et même une manière de composer très proches ? La formule st effectivement restée inchangée sur ce
When the Cold Comes et il faut s’attendre à une musique et à des vocaux très rêches. Déjà cela peut déplaire. Mais par dessus ces éléments agressifs aux oreilles, il y a une boite à rythme complètement assumée totalement mise en avant, mais aussi quelques claviers qui viennent saupoudrer l’ensemble.
Le genre peut être haïssable, mais il est aussi toujours aussi reconnaissable et singulier.
WOLFKRIEG ne se renouvelle pas sur ces 10 nouvelles pistes, et je dois avouer qu’il me semble s’essoufler après tant d’albums. Il y a des pistes qui ne restent absolument pas en mémoire et c’est dommage que ce soit la majorité, mais heureusement, celles qui arrivent à se démarquer donnent envie d’y revenir et nous fait dire que la formation a tout de même raison de pousuivre sacarrière. Parmi les morceaux que j’ai préférés, il y a avant tout les entraînants « Shadow of the Sky River » et « Death of Ragnar Lothbrok » avec leurs mélodies qui appuient sur le plaisiromètre intégré de Sakrifiss.
Au final, un album qui me convainc encore un peu moins que le précédent, mais sans nul doute parce qu’il est difficile de continuer à être efficace sur la durée quand on reste dans la même sphère musicale...
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