Je déteste quand mes prédictions se réalisent. Si seulement j'avais terminé la chronique de
Transcendence par « mais je suis sûr que le prochain album sera aussi bon que les précédents » au lieu de quelques lignes d'appréhension sur la qualité des vocaux et la sagesse des riffs, je serais peut être en train d'écouter autre chose qu'un
A Perfect Absolution avec de fades riffs bien trop sages et des vocaux merdiques. Mais il faut croire que les moins bons moments du titre éponyme de l'EP annonçaient parfaitement ce qu'il y aurait de meilleur sur ce quatrième album des Français dont je n'aurais pas cru, même avec toute l'appréhension qu'ont suscité en moi les départs de Guillaume et Arnaud, qu'il me décevrait autant.
Au contraire de mon camarade Niktareum,
Process Of A New Decline m'avait mis une telle baffe, et marquait un tel pas en avant dans l'évolution de Gorod que je le juge non seulement comme le meilleur album du groupe, mais aussi et surtout comme le meilleur album de death metal jamais paru dans l'Hexagone. Vous n'imaginez donc sans doute pas à quel point ce nouvel album me file des boutons ! Passé un morceau correct en « Elements And Spirits » il ne reste guère que quelques riffs et des solos heureusement toujours inspirés pour m'évoquer la grandeur du Gorod d'antan. Entre un « Sailing Into The Earth » tout de même passablement ennuyeux – malgré des solos très bien amenés grâce à un pont de fort belle facture, c'est d'ailleurs le seul motif de satisfaction récurrent de ce nouvel opus– un « 5000 At The Funeral » où il ne s'y passe rien pendant plus de trois minutes trente et un « Tribute Of Blood » pénible dès la deuxième minute j'ai suffisamment de motifs pour me cogner la tête dans le mur en criant mon désarroi.
Pourtant la patte Gorod est bien là et rend la musique du groupe reconnaissable entre mille, ce qui donne au moins à
A Perfect Absolution le mérite d'être aussi original que les autres albums du groupe. Néanmoins, l'impression d'écouter un ersatz de Gorod ne me quittera jamais tant j'ai l'impression que tous les riffs sont beaucoup plus faciles et moins travaillés qu'auparavant. Le riff de « Carved In The Wind » à 3:30 est symptomatique d'un groupe en roue libre : pourtant typiquement Gorodien avec une guitare rythmique ultra groovy et une guitare lead qui joue une mélodie en tapping virevoltante, il déçoit par sa sagesse, une absence de prise de risque et un manque d'évolution qui rendent l'ensemble plat, à mille lieues de l'explosion de mélodies épiques subtilement combinées qui marquait auparavant l'apogée de tout bon titre des Bordelais. Car en définitive ce nouvel album est beaucoup trop sage et surtout bien moins intéressant sur le plan des mélodies que ses prédécesseurs – et je dis bien tous ses prédécesseurs, pas uniquement
Process Of A New Decline. Où sont passés les longs plans en tapping du dernier album qui me faisaient décoller au plafond, ou la constance mélodique de
Leading Vision qui rendait le groove du groupe si unique ? Même le très bon interlude samba de « Varangian Paradise » souffre d'un manque d'ambition flagrant, alors qu'il y aurait eu moyen de teinter tout le titre de sa texture à la manière de ce qu'a pu faire Atheist par le passé.
C'est donc clairement « Elements And Spirits » qui tire son épingle du jeu, puisque c'est le seul titre qui ose suivre la voie tracée sur
Process Of A New Decline, avec ses progressions harmoniques très intéressantes et ses mélodies ultra prenantes, même s'il n'arrive jamais à égaler la magie d'un « Disavow Your God » ou d'un « The Path ». Mais ce troisième titre est aussi celui où le nouveau vocaliste de Gorod, tout droit venu de Zubrowska, oublie totalement son peu glorieux registre death metal qui demeure pourtant incomparablement plus supportable que la diarrhée sonore qu'il déverse dans un raclement de gorge typé power thrash voire hardcore, ou bien quand il s'essaye au chant clair... À lui seul, Julien parvient à me rendre un album de Gorod pratiquement inécoutable – vous pouvez rayer le pratiquement pour un « The Axe Of God » – et pour cela je lui tire mon chapeau car je ne pensais pas la chose possible ; mais il ne fait que souligner les défauts de compositions moins inspirées tout en en gâchant définitivement les meilleurs moments. Au moins les râleurs qui se plaignaient des vocaux death metal de Guillaume vont être ravis de constater que ses influences sont plutôt à aller chercher du côté de Machine Head ou Devin Townsend.
La conjugaison d'un registre vocal vomitif et de compositions à l'inspiration clairement en berne me donne parfois l'impression d'écouter du deathcore à la mode, ou bien du metal moderne qui oriente tout sur la rythmique comme sait si bien en faire la scène française avec la Klonosphere ou Trepalium. Jamais je n'ai retrouvé le groupe au death technique personnel et flamboyant qui a réussi à allier mélodie et groove comme seuls les grands anciens savaient le faire. J'admets volontiers que Gorod puisse évoluer, et ce nouvel album n'est en aucun cas une régression ou une volonté de revenir à l'essence de la musique de leurs débuts, c'est simplement le nouveau visage d'un groupe qui suite à des changements de line-up a pris une tournure légèrement différente en imprimant un virage sans doute trop doux pour s'aliéner totalement sa fan base conséquente mais suffisant pour que les plus pointilleux comme moi ne s'y retrouvent pas complètement. Il m'est difficile de prétendre que
A Perfect Absolution est un mauvais album car il demeure au dessus des standard de qualité du genre, musicalement il est même plutôt pas mal et teinté des sonorités habituelles de Gorod ; mais ses trop nombreux défauts et ses immondes vocaux font que je ne le sortirai sans doute plus jamais du placard, ce qui justifie que je le sanctionne à la hauteur de la déception qu'il me procure. Tout dépend en définitive de ce que vous attendez des Bordelais, et si vous appréciez avant tout le groove, l'efficacité et que vous vous nourrissez plus volontiers de Benighted que de Death, alors vous abonderez sans doute beaucoup plus dans le sens de Niktareum que dans le mien. Je le redis : je suis fan de Gorod, qui est un groupe que je connaissais alors qu'il s'appelait encore Gorgasm et que j'ai appris à aimer et à chérir comme le bijou de la scène death metal française au fil des années... Mais
A Perfect Absolution est sans doute le premier essai d'une nouvelle ère qui consommera définitivement mon divorce avec eux.
von_yaourt - Note
5,5/10
La pluie qui choit, quelques cris d'oiseaux, comme un nouveau jour qui se lève, et cette montée en puissance jusqu'à l'éructation
« Redemption always comes from the skyyyyyy! ». Si les quelques secondes d'introduction de ce tant attendu quatrième album des frenchies de Gorod résonnent comme l'aube d'un nouveau jour ce n'est peut-être pas une simple coïncidence tant les changements se sont accumulés depuis quelques temps déjà et pouvaient laisser craindre à certains un inexorable délitement de la musique des bordelais. Heureusement, même après le départ de Guillaume (chant) puis d'Arnaud (guitare), il n'en est rien. Rassurez-vous braves métalleux, « A Perfect Absolution » est bel et bien marqué du sceau de Gorod au même titre que ses prédécesseurs, et quand bien même quelques évolutions évidentes se feront sentir par rapport notamment à
« Process Of A New Decline » il n'y a pas de quoi en rendre la mixture immangeable, tout juste de quoi faire tourner un yaourt.
Impossible en effet de ne pas reconnaître dès le début de « Birds Of Sulphur » la patte de Gorod, ces lignes de guitare reconnaissables entre mille, ces riffs plein de groove... On est vite rassuré. Rassuré de voir que les bordelais n'ont rien laissé de ce qui faisait leur marque de fabrique, ces quatre éléments de leur musique que sont la technique, la brutalité, les mélodies et le groove. Ce carré magique à géométrie variable qui a permis à chaque album d'arborer un visage différent tout en gardant une cohérence d'ensemble indiscutable. Et s'il est également indiscutable que
« Process Of A New Decline » constituait une acmé en terme de technicité et de rapidité (pour certains leur meilleur album, et il faut avouer que c'est quand même un sacré monument), ce petit dernier pourrait bien alors être vu comme un certain rééquilibrage des quatre forces. Si Gorod fait toujours montre d'une technique instrumentale au-dessus de la moyenne, « A Perfect Absolution » redonne sa place au groove responsable en grande partie du coup de coeur que j'avais eu pour
« Leading Vision » il y a déjà six ans de cela. « Birds Of Sulphur » à 1'45, ce passage rythmico-groovy à 2'22 puis rehaussé à 2'43 sur « 5000 A The Funeral » ou encore le début de « Tribute Of Blood » (titre qui n'aurait pour sûr pas fait tache sur le deuxième album du groupe), de nombreux passages nous ramènent à ce que le quintette sait faire de mieux en terme de rythmiques irrésistibles. Mais que serait Gorod sans ces mélodies entêtantes et ces leads magistraux? Même si elles pourront laisser un petit goût de moins abouti par rapport aux deux albums précédents sur lesquels elles frisaient la perfection, il faudrait être sacrément difficile pour faire la fine bouche! « Sailing Into The Earth » à 3'15 puis ce contrepoint à 3'35, « 5000 At The Funeral » à 3'26 (et rebelotte à 4'07!), les lignes accompagnant ce break jazzy sur « Carved In The Wind », « Tribute Of Blood » à partir de 2'26... Mathieu et Nicolas nous gratifient de quelques moments de pure jouissance auditive. Comme à son habitude le groupe se laisse encore une fois aller à quelques arrangements bienvenus (les claviers d' « Elements And Spirits » qui ne seront pas sans rappeler « The Path », l'intro parfaite de « 5000 At The Funeral ») ou expérimentations intéressantes et fort bien intégrées à la charpente des morceaux (ce passage jazzy sur « Carved In The Wind » illuminé par le solo de Christian Muezner ou le break aux sonorités samba sur « Varangian Paradise »). Bref « A Perfect Absolution » comporte tout ce qui jusqu'ici nous a fait adorer Gorod, un Gorod dont la patte reste reconnaissable entre mille (le début de « Birds Of Sulphur », « Sailing Into The Earth » à 24'' ou encore ce passage génial de 39'' à 1'06 sur « Carved In The Wind »).
Il serait cependant hypocrite de prétendre que le Gorod 2012 n'a pas changé d'un iota, évidemment « A Perfect Absolution » est loin d'être un
« Process Of A New Decline » bis, et ce à plusieurs points de vue. Pour commencer et quand bien même cet aspect peut paraître pour beaucoup secondaire, le concept de ce nouvel album a totalement abandonné la société secrète Obsequium Minaris pour nous transporter dans un tout autre univers, nous ramenant en l'an 945 durant lequel Olga, veuve d'Igor roi de Kiev, assouvit sa vengeance dans un bain de sang. Encore une fois tout un programme! Et bien sûr ces lyrics nous ramènent inéluctablement au gros changement intervenu au sein du groupe. Julien (également hurleur chez les excellents Zubrowska) a donc remplacé Guillaume. Evoluant dans un registre sensiblement différent, plus varié et moins frontalement guttural, le frontman apporte plus de couleurs à la musique du groupe. Même si Julien possède indéniablement un timbre moins imposant que son prédécesseur, sa palette vocale plus large permet au groupe de varier quelque peu les plaisirs. Gutturale tout en restant assez sèche, plus hardcore par moments (« Elements And Spirit »), parlée ou même en chant clair à l'occasion (« The Axe Of God »), sa voix confère à ce nouvel album une dimension que les précédents n'avaient pas (ce chanté/hurlé à la fin de « Birds Of Sulphur » qu'on croirait sorti d'un album de Gojira et sur lequel mon collègue au bifidus à probablement dû avaler sa langue). Certains aspects viendront pourtant obscurcir un chouïa le tableau. Rien de rédhibitoire heureusement mais peut-être révélateurs d'un léger manque d'ambition. Ces leads, pour commencer, qui au vu de leur immense qualité auraient largement mérité d'être plus étirées et aventureuses. Quelle frustration que d'entendre ce passage si bon à partir 2'26 sur « Tribute Of Blood » s'interrompre si rapidement! On pourra de même regretter quelques passages moins intéressants comme celui un peu trop facile pour du Gorod à 2'20 sur « Carved In The Wind » ou le début assez moyen de Varangian Paradise (la première minute et demie), probablement le moins bon titre en ce qui me concerne. Concernant la prod de Frédéric ''El Mobo'' Motte, puissante au demeurant, elle met bien trop en retrait la basse à mon goût (on est presque obligé d'attendre le début de « Carved In The Wind » pour enfin voir Barby sortir de son terrier!) ainsi que les cymbales (à moins que ce ne soit lié à l'encodage pourri des mp3 sur lesquels cette chronique se base).
En ce qui me concerne ce nouveau bébé m'a totalement comblé, malgré ses quelques défauts somme toute soutenables, et ce dès les premières écoutes me ramenant notamment à ce côté rythmique et groovy un peu délaissé sur
« Process Of A New Decline ». Les écoutes ultérieures n'ont fait que confirmer ce sentiment: Gorod a certes évolué (qui pourra les en blâmer?) mais tout en préservant son identité musicale. D'aucuns seront peut-être déçus par « A Perfect Absolution » (j'en connais déjà au moins un) mais que voulez-vous, il y aura toujours des insatisfaits.
Niktareum - Note
8,5/10
21 COMMENTAIRE(S)
17/03/2012 14:25
Et pour Gorod, ils ont ouvert les hsotilités avec "Birds of Sulphur" (évidemment), ensuite ils ont enchaîné sur deux "vieux" morceaux (dont je ne suis pas certains) puis ensuite ils ont joué "The Axe of God", "Carved in the Wind" et ils ont fini par le combo imparable "Programmers of Decline" + "Disavow Your God".
17/03/2012 11:10
Sorry
17/03/2012 11:09
Gros bémol par contre : ils ont juste joué un morceau de Incurso (Where Angels Go Demons Follow) mais bien 4 ou 5 de Noctambulant (et 3 ou 4 de Cabinet).
En même temps, ça m'étonne pas trop de la setlist de non axée sur Incurso, vu la longueur et la complexité des morceaux :/
Sinon, le titre que tu veux dire où il s'est planté, c'est Lash By Lash ?
16/03/2012 15:09
Oh ? Pourtant il y a un gros côté mathcore meshuggesque chez Outcast (en tout cas sur le dernier), je pensais que ce genre d'élément dans le tech death te rebutais.
En parlant de bon batteur, sur la date de Stockholm (le 13 mars) le batteur de SoP s'est planté de manière magistrale sur le deuxième morceau (je crois que c'était un morceau de Noctambulant) : perte de baguette (ca arrive), ensuite il était complètment paumé (Jonas Bryssling s'est retourné vers lui dans le genre "WTF ?!") et ils ont arrêté le morceau là... sauf le bassiste qui a continué de jouer tout seul pendant quelques secondes. XD
Gros bémol par contre : ils ont juste joué un morceau de Incurso (Where Angels Go Demons Follow) mais bien 4 ou 5 de Noctambulant (et 3 ou 4 de Cabinet).
16/03/2012 00:14
Sinon je rejoins globalement l'avis de Jotun sur un album. J'ai peur, bientôt je vais me mettre à détester les bons batteurs et les mecs qui savent composer des riffs intéressants.
15/03/2012 23:55
Bon y'a quand même le début et la partie centrale "Spin Angular Momenta" (ce final atmosphérique avec le chant féminin ! Raaaah lovely !), "Unspoken" et "Isolation" qui font très mal... et mon font juste voyager en fait. Et même les parties qui tabassent ne sonnent pas déjà entendue 100 fois (contrairement à Gorod sur cet album, Ca me fait chier de dire ça). Le seul point noir c'est que ça s'essouffle un peu sur la fin de l'album qui manque de moments forts.
Après c'est difficile de comparer le Gorod et le Outcast dans le sens ou le second est presque deux fois plus long que le premier.
Cela dit je suppose que le dernier Outcast n'a pas non plus trouvé grâce aux yeux de note Yaourt préféré (vu le style pratiqué).
15/03/2012 21:37
???? Tu trouves ????????
Putain cet album (le dernier Outcast) je l'ai précommandé, je l'ai écouté et ré-écouté, j'étais tout prêt à en être amoureux, même mes 1eres impressions étaient plutôt bonnes ... Et au final rien n'en reste. C'est très bien quand tu en chopes une minute au hasard, mais, à qq passages près, ça te glisse dessus sans rien laisser. C'est vraiment moins accrocheur que des dizaines de trucs qui me passent entre les mains chaque mois. Ca me désole, mais je ne vois pas ce que vous lui trouvez tous, à ce dernier Outcast !!!!!
15/03/2012 14:06
En effet je trouve que cet album ne se démarque pas assez de la concurence. Bien sûr on a toujours droit ici où là à des passages groovy/jazzy/progressifs bien sentis comme sur "Elements and Spirits", "Carved in the Wind" ou le break salsa au milieu de "Varangian Paradise" (je trouve d'ailleurs que ces trois morceaux sont nettement au dessus du lot, alors que sur "Process of a New Decline" chaque titre était une tuerie), mais les parties les plus brutales ne sont pas hyper inspirées (un peu "génériques") et un peu trop nombreuses à mon goût.
Et comme pas mal d'entre vous je m'attendais à une orientation résolument plus progressive avec plus de morceaux à la "Watershed" ou "The Path"... Ben non, j'ai été un peu décu.
Alors si je devais lui coller une note par rapport aux autres Gorod, ce serait plutôt un 6,5 ou un 7 (là où "Process" aurait un 11/10), mais Gorod étant déjà un groupe de tech death évoluant au dessus de la mêlée, disons 8 par rapport "aux autres"... Excepté Outcast qui du coup à sorti un album bien plus intéressant que Gorod ("Awaken The Reason" n'est pas exempt de défauts, mais Outcast a pris des risques qui s'avèrent payant).
P.S : Et oui le SoP est vraiment bon, la preuve : J'ai détesté "Noctambulant" mais je trouve que "Incurso" corrige toutes les "erreurs" de son prédécesseur.
Oh ! Et pour la basse, ca vient de vos mp3 ou de votre système, parce qu´avec mon casque je l'entend parfaitement la basse (bien plus que sur "Process" d'ailleurs !).
14/03/2012 23:44
14/03/2012 18:16
J'avoue que l'on retrouve de bons moments bien groovys et techniquement intéressants, mais je trouve cet album trop facile dans ses compositions
13/03/2012 21:07
Bon sang le mois de Mars est dur avec le porte-monnaie on dirait, avec la tuerie totale de Spawn Of Possession et le Hour Of Penance qui va arriver aussi, woulalah...
13/03/2012 20:00
T'inquiète pas, je n'ai pas attendu pour apprécier le dernier SoP, qui finira de toute façon dans le top de la rédac'. La chronique arrive bientôt.
13/03/2012 19:29
13/03/2012 13:15
13/03/2012 12:16
En effet !
13/03/2012 11:49
Je venais donc juste pour dire que j'aime la pochette.
Voilà, c'est dit, je peux mourir tranquille maintenant.
C'est pourtant une abomination cette pochette!
C'est peut-être le fait que je ne la vois qu'en -miniature sur mon ordi, et pas en grandeur nature.
En attendant, elle me donnerait presque envie d'écouter l'album. Presque, par ce que je suis feignant.
13/03/2012 10:16
Quant aux vocaux Gojira-esque ils sont du fait d'un guest, mais effectivement je me suis étranglé dessus plus d'une fois !
Pour la production je n'en ai pas parlé mais je trouve qu'on entend plutôt bien la basse, personnellement plus j'ai l'impression que Matthieu a modifié son son de guitare qui est devenu plus grave (il a changé de matériel peut être ?). Mais effectivement, difficile de juger sur des fichiers encodés...
Pour le chant oui il me semblait bien que c'était le mec de Jenx mais j'en étais pas sûr à 100% et puis dans l'idée ça pourrait très bien être Julien.
Pour la basse j'espère que ça vient du son des mp3 mais c'est vrai que je me suis dit au début de CITW, "Tiens y'a de la basse?!"... Bon j'éxagère un peu mais dans l'idée c'était ça quoi.
13/03/2012 08:53
Je venais donc juste pour dire que j'aime la pochette.
Voilà, c'est dit, je peux mourir tranquille maintenant.
C'est pourtant une abomination cette pochette!
Quant à la musique, c'est un bon album mais loin du niveau des deux précédents. On sent une volonté de rentrer dans le rang.
13/03/2012 02:20
Je venais donc juste pour dire que j'aime la pochette.
Voilà, c'est dit, je peux mourir tranquille maintenant.
13/03/2012 01:29
Quant aux vocaux Gojira-esque ils sont du fait d'un guest, mais effectivement je me suis étranglé dessus plus d'une fois !
Pour la production je n'en ai pas parlé mais je trouve qu'on entend plutôt bien la basse, personnellement plus j'ai l'impression que Matthieu a modifié son son de guitare qui est devenu plus grave (il a changé de matériel peut être ?). Mais effectivement, difficile de juger sur des fichiers encodés...
13/03/2012 00:59