Commentaires / Rigs Mordo COMMENTAIRES Rigs Mordo
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citer | 50 minutes c'est un peu long pour du death comme celui de Master, Speckmann et sa clique devraient s'en tenir à un confortable 30-35 minutes. Mais ce dernier skeud est comme les précédents : sans surprise mais très efficace, et ça ne viendra à l'esprit de personne d'en demander plus à Speckmann. Depuis une dizaine d'années, le niveau de leurs sorties est quand même haut (ça n'a pas toujours été le cas) et ça fait plaisir de les retrouver en forme à chaque fois. | | | Master Saints Dispelled 2024 - Hammerheart Records | | | |
citer | Réécouté hier soir, je reste sur ma bonne première impression et sur ma note de 7,5 : ça mitraille comme il faut, on se fait pas chier même si l'album est effectivement un poil long, mais je continue de préférer le précédent tout de même. | | | Sodom Genesis XIX 2020 - Steamhammer Records (SPV) | | | |
citer | Je me joins au petit cortège des satisfaits : un très bon Vader, direct comme il faut, qui ne tortille pas du cul et se place directos parmi leurs meilleurs albums. J'y vois presque une version réussie de Necropolis (que je n'aime pas) en fait. | | | Vader Solitude In Madness 2020 - Nuclear Blast Records | | | |
citer | Même note pour moi aussi : ça s'écoute, c'est bien foutu, mais c'est pas fait pour marquer les esprits. Ils étaient plus inspirés dans les années 2000, Undead Unholy Divine était un sacré album. | | |
citer | Du thrash pur premium, j'aurais du mal à véritablement mettre un album de Sadus plus en avant que les autres, mais celui-ci aurait vraiment ses chances avec Out for Blood. Bonne chro as usual. | | | Sadus Swallowed In Black 1990 - Roadracer Records | | | |
citer | Très bonne chro, et je suis d'accord avec toi lorsque tu dis que la musique de Sadus est alors difficile à assimiler, on en retient plus l'agression que son accroche, toute relative. C'est pas une critique de ma part, Sadus est l'un de mes groupes favoris et j'en aime chaque album. Je trouve d'ailleurs dommage qu'ils aient stoppé la machine après Out for Blood, qui justement travaillait son aspect catchy sans jamais laisser tomber cette véhémence, cette noirceur. Reste que Chemical/Illusions c'est le symbole d'une époque où le metal devenait plus extrême, que je n'ai pas connue en direct mais que cet album, avec les premiers Kreator ou Sacrifice, me fait vivre par procuration. | | |
citer | Ma première édition, et sans doute pas la dernière, je me suis vraiment éclaté. Je ne vais pas revenir sur tous les détails, c'est fait dans le report et dans les coms, mais la bière était effectivement aussi fadasse que l'ambiance était bonne. Et en effet, les bénévoles sont réactifs pour ramasser les merdasses des festivaliers : un concert se termine qu'ils sont déjà en train de collecter les papiers et compagnie. Bravo à eux.
Je suis arrivé après le set d'Au-Dessus, que je ne comptais pas voir pour être honnête donc ça ne m'a pas posé de problèmes. Agréablement surpris par Zuriaake, mise en bouche pas tout à fait mon style à la base, mais le côté visuel et une chouette atmosphère font que ça passe crème. Je ne pourrai pas en dire autant de Mephorash : ouais ils ont une jolie scène, mais musicalement ça ne vaut pas grand-chose, c'est très "prétentieux" comme tu le dis. Mais ça fait une bonne pause-pipi.
Comme le dit Keyser, le fest débute vraiment avec Midnight : c'était la fête ! Les gens répondent bien, le groupe semble s'amuser, le mariage punk/black/rock'n roll fonctionne du tonnerre. Je connaissais mal, quelques chansons ici ou là, mais beau premier contact. Arrive Incantation, pour lesquels j'avais une grosse attente. J'ai été un peu déçu par le son, mais à tous vous lire je devais être mal placé, même si comme dit dans le report ça s'est amélioré au fil du temps. En tout cas, McEntee faisait plaisir à voir : le mec a fait plus de horns up à lui tout seul que tous les festivaliers (il faisait limite les cornes tous les deux riffs), grimace comme un diable et semble content d'être là.
Vomitory, grosse claque me concernant. Même mon frangin, pas trop death, a bien remué de la colonne à leur passage. Faut dire qu'ils envoient, que ça riffe sacrément bien et que le leader a la banane, ce qui fait toujours plaisir à voir. Pareil pour Asphyx, mais en encore mieux : Van Drunen a le feu, et malgré un ou deux couplets passés sous les radars parce que le micro déconne, ça balance de ces pavés... Comme le dit Keyser, l'hommage à Bodyfarm est émouvant, il y a des titres lors desquels il est impossible de ne pas se ruiner la nuque (Deathhammer, Death The Brutal Way...) et les passages doom font un effet dingue. Je les attendais, ils ne m'ont pas déçu et j'aurais bien repris une heure...
Je suis parti après, obligations familiales obligent, mais si ce n'est Bloodbath, je n'avais pas d'intérêt particulier pour le reste donc c'est sans grande peine. Rendez-vous est en tout cas pris pour l'année prochaine, le temps va sembler long... | | |
citer | J'avais beaucoup aimé le précédent, qui n'apportait pas grand-chose dans leur discographie, mais balançait quelques jolis boulons. Celui-ci me semble effectivement faiblard, et on sent bien qu'il a en effet été démoulé dans une certaine urgence. Je vais attendre un peu avant de le juger de manière définitive, mais je ne pense pas passer à la caisse cette fois... | | | Destruction Born To Perish 2019 - Nuclear Blast Records | | | |
citer | Bon annif et merci à la team pour tout ce boulot! | | |
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