| Morgue Breath Plaga Sin Rostro Death/Grind
Bah voilà. L'année a été très chouette niveau Grindcore, mais c'est bien ce premier long-jeu de Morgue Breath qui tire son épingle du jeu. Un concentré de tout ce que j'aime dans le Death Metal, dans le Grindcore, et dans le Goregrind old-school. A écouter d'urgence pour les amateurs de General Surgery, Dead Infection et autres sympathies.
| | |
| Horsebastard Horsebastard Blastcore
Dix ans après un extraordinaire "Giraffetermath", les Anglois remettent le couvert en déconstruisant encore un peu plus leur "Equestrian Blastcore". C'est un bordel sans nom, qui change de rythme toutes les trois secondes, de quoi se péter le crâne. Mathcore ? Grindcore ? Fastcore ? Un peu de tout. Mais l'album, s'il est extrêmement fatiguant, fait un bien fou en guise de défouloir. Et il est tellement absurde dans sa violence gratuite et stupide que le sourire s'avère inévitable.
| | |
| Exorbitant Prices Must Diminish For a Limited Time Grindcore
Premier long-jeu pour le combo Suisse, véritable all star band (avec des morceaux de Nostromo, Grotesquerie, Nasty Face, The Afternoon Gentlemen dedans) qu'il serait insultant de résumer à une brochette de têtes connues, EPMD, mené par la terrifiante Alessia, commet un disque de Grindcore absolument redoutable. Varié, intelligent, foutrement bien branlé, efficace en Diable. Parmi les meilleures sorties de l'année, assurément.
| | |
| Groin Paid in Flesh Grindcore / Powerviolence
Inconsolable de la "perte" de Magrudergrind ? Ce premier long format de Groin saura te redonner du baume au cœur. Résolument street, son de guitare frappé du sceau "Entombed" qui lave le cul, vingt minutes de pur plaisir régressif qui donne envie de latter les murs. Superbe.
| | |
| Knoll As Spoken Funeral Grind
Oui, ça y est, enfin : Knoll a trouvé son style. Un Grindcore coupé plus que jamais au Death Metal abstrait d'un Portal / Impetuous Ritual, au service d'une atmosphère suffocante. Un disque qui fait roter la poussière, d'une puissance de feu hors-norme.
| | |
| Brodequin Harbinger Of Woe Brutal Death Metal
Parmi les albums que j'ai le plus écouté cette année, si j'en crois les stats de mon Lastfm. J'étais très client de la brutalité complètement bovine des débuts. Même si "Harbinger of Woe" est plus précis, plus chirurgical (ces blasts en pattes de chat), il est bourré de riffs qui confinent à l'ultime et surtout, ça ne débande jamais. Gros retour.
| | |
| Antichrist Siege Machine Vengeance Of Eternal Fire Black / Death Metal
Un sommet de trisomie. Deux bougs qui sonnent comme une armée complète. Quel plaisir d'entendre un batteur proprement MATRAQUER ses fûts sur des riffs ultra-neuneus. C'est clairement pas le prochain prix Nobel, mais bordel, qu'il fait du bien.
| | |
| Defeated Sanity Chronicles Of Lunacy Brutal Death Technique
Pfouah, tuerie intégrale. Quel plaisir d'avoir un son de batterie organique, où l'exécution parfois un poil sloppy n'est pas gommée en post-prod, et qui met en relief le jeu extraordinaire de Lille Gruber... C'est velu, technique certes, mais sans jamais rogner sur l'efficacité. Probablement l'un des meilleurs disques du combo, qui rejoint une discographie exemplaire.
| | |
Par Jean-Clint
Par Jean-Clint
Par Lestat
Par Jean-Clint
Par xworthlessx
Par Ikea
Par AxGxB
Par Jean-Clint
Par Sosthène
Par Lestat
Par Krokodil
Par Niktareum
Par Jean-Clint
Par Jean-Clint
Par MoM
Par Jean-Clint
Par Sosthène