Bilan 2024 / Sosthène

Le renouveau du techno thrash.

Du grand art pour une formation toujours fidèle à sa ligne de conduite initiale

Le talent des compositeurs apparaît comme une évidence.

Une prestation monstrueuse, absolument sans pitié.

Ce disque sera toujours autant surréaliste, imperméable aux époques, aux mouvements de mode et toujours aussi peu discutable dans sa perfection outrancière.

Pour le talent, la prise de risques.

Meilleur disque des 90's.

Au sommet de la chaîne alimentaire.

Le doom tel qu'on l'aime !

Parfait mélange de technique et de brutalité.

La démesure à l'état pur.

Noir, classieux, poétique.

Comme disait Eddy le Quartier : "Le plus grand".

Ma tristesse de rien comprendre au génie.

Un redoutable tueur en série qui passe ses victimes vivantes au presse-purée.

Une bonne tranche de putridité confite dans son jus.

« Parthénogenèse » ne nous veut que du mal.

Fangeux et obscur.

Les douze compositions font une solide impression.

Petite horreur vicieuse.

Pour l’élégance.

Incroyable et improbable surprise.

Thrash Metal bien plus intelligent que ce que les musiciens voudraient nous faire croire.

Le sans faute.

Une progression dingue depuis le premier album pour un résultat écrasant.

Parce que la formation s'enlise.

Profond ennui.

Sans intérêt.

J'attends plus et mieux d'un tel potentiel de nuisance.